Decreto 35/97
de 18 de Julho
Nos termos da alínea c) do n.º 1 do artigo 200.º da Constituição, o Governo decreta o seguinte:
Artigo 1.º
São aprovados, para ratificação, os Actos Finais da União Internacional das Telecomunicações, adoptados na Conferência de Plenipotenciários de Quioto em 14 de Outubro de 1994, cujo texto original em francês, assim como a respectiva tradução em português, segue em anexo ao presente diploma.
Artigo 2.º
São formuladas as seguintes reservas e declarações quanto ao texto dos referidos Actos Finais:
1 - Portugal declara não aceitar qualquer consequência de reservas feitass por outros governos que causem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
2 - Portugal reserva o direito de tomar quaisquer medidas que possa julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de alguns membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações, modificadas pelos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários de Quioto (1994), ou ainda se reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
3 - Portugal reserva ainda o direito de formular reservas específicas adicionais aos ditos Actos Finais, bem como a qualquer outro instrumento resultante de outras conferências pertinentes da União Internacional das Telecomunicações ainda não ratificado, até ao momento do depósito do instrumento de ratificação respectivo.
4 - Portugal, no que respeita às declarações feitas pela Colômbia (n.º 37) e pela República do Quénia (n.º 72), considera, na medida em que estas declarações e outros instrumentos análogos se referem à Declaração de Bogotá assinada em 3 de Dezembro de 1976 pelos países equatoriais e à reivindicação destes países de exercer direitos soberanos sobre parte da órbita dos satélites geoestacionários, bem como a qualquer declaração similar, que esta reivindicação não pode ser admitida.
5 - Portugal renova a declaração (n.º 73) feita por um certo número de delegações na Conferência de Plenipotenciários Adicional (Genebra, 1992) às declarações formuladas nas conferências que aí são mencionadas.
6 - Portugal declara que a referência à «situação geográfica de alguns países» no artigo 44.º da Constituição não significa que seja admitida a reivindicação de quaisquer direitos preferenciais sobre a órbita dos satélites geoestacionários.
Visto e aprovado em Conselho de Ministros de 6 de Março de 1997. - António Manuel de Oliveira Guterres - Jaime José Matos da Gama - João Cardona Gomes Cravinho.
Ratificado em 22 de Maio de 1997.
Publique-se.
O Presidente da República, JORGE SAMPAIO.
Referendado em 6 de Junho de 1997.
O Primeiro-Ministro, António Manuel de Oliveira Guterres.
ACTES FINALS DE LA CONFÉRENCE DE PLÉNIPOTENTIAIRES DE L'UNION INTERNATIONALE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS (KYOTO, 1994)
Note explicative sur les notations marginales des Actes Finals
Les modifications par rapport aux textes de la Constitution et de la Convention de Genève (1992) sont précédées des notations marginales suivantes:
ADD = adjonction d'une nouvelle disposition;
MOD = modification d'une disposition existante;
(MOD) = modification, de caractère rédactionnel, d'une disposition existante;
NOC = disposition inchangée.
Ces symboles sont suivis du numéro de la disposition actuelle. Une nouvelle disposition (symbole ADD) s'insère à l'endroit correspondant au numéro indiqué, suivi d'une lettre.
Instrument d'amendement à la Constitution de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992)
[Amendements adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994)]
PARTIE I
Avant-propos
En vertu et en application des dispositions pertinentes de la Constitution de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), et notamment des dispositions de son article 55, la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) a adopté les amendements ci-après à la Constitution précitée:
Article 8 (CS)
La Conférence de plénipotentiaires
MOD 50 b) Examine les rapports établis par le Conseil sur l'activité de l'Union depuis la dernière Conférence de plénipotentiaires ainsi que sur la politique générale et la planification stratégiques de l'Union;
MOD 57 i) Examine et adopte, s'il y a lieu, les propositions d'amendements à la présente Constitution et à la Convention, formulées par les Membres de l'Union, conformément, respectivement, aux dispositions de l'article 55 de la présente Constitution et aux dispositions pertinentes de la Convention;
ADD 59A 3 - A titre exceptionnel, pendant l'intervalle entre deux Conférences de plénipotentiaires ordinaires, une Conférence de plénipotentiaires extraordinaire peut être convoquée avec un ordre du jour restreint pour traiter de sujets spécifiques:
ADD 59B a) Par décision de la Conférence de plénipotentiaires ordinaire précédente;
ADD 59C b) Sur demande formulée individuellement par deux tiers des Membres de l'Union et adressée au Secrétaire général;
ADD 59D c) Sur proposition du Conseil, avec l'accord d'au moins deux tiers des Membres de l'Union.
Article 9 (CS)
Principes relatifs aux élections et questions connexes
MOD 62 b) Le Secrétaire général, le Vice-Secrétaire général, les directeurs des Bureaux et les membres du Comité du Règlement des radiocommunications soient élus parmi les candidats proposés par les Membres en tant que leurs ressortissants, qu'ils soient tous ressortissants de Membres différents et que, lors de leur élection, il soit dûment tenu compte d'une répartition géographique équitable entre les régions du monde; en ce qui concerne les fonctionnaires élus, il fraudrait en outre tenir dûment compte des principes énoncés au numéro 154 de la présente Constitution;
MOD 63 c) Les membres du Comité du Règlement des radiocommunications soient élus à titre individuel, chaque Membre ne pouvant proposer qu'un seul candidat.
Article 28 (CS)
Finances de l'Union
MOD 163 4) La classe de contribution choisie par chaque Membre, conformément au numéro 161 ou 162 ci-dessus, est applicable au premier budget biennal à compter de l'expiration de la période de six mois visée au numéro 161 ou 162 ci-dessus.
PARTIE II
Date d'entrée en vigueur
Les amendements contenus dans le présent instrument entreront en vigueur, dans leur totalité et sous la forme d'un seul instrument, le 1 janvier 1996 entre les Membres qui sont parties à la Constitution et à la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et qui auront déposé avant cette date leur instrument de ratification, d'acceptation ou d'approbation du présent instrument ou d'adhésion à celui-ci.
En foi de quoi, les Plénipotentiaires soussignés ont signé l'original du présent instrument d'amendement à la Constitution de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992).
Fait à Kyoto, le 14 octobre 1994.
Pour la République algérienne démocratique et populaire:
Ali Hamza.
Pour la République fédérale d'Allemagne:
Ulrich Mohr.
Eberhard George.
Pour la Principauté d'Andorre:
Ricard Rodrigo Monsonis.
Pour la République d'Angola:
Virgílio Marques de Faria.
Pour le Royaume d'Arabie saoudite:
Sami S. Al-Basheer.
Pour la République argentine:
Oscar Martín González.
Eduardo Angel Katsuda.
Guillermo E. Nazar.
Pour l'Australie:
W. J. Henderson.
C. L. Oliver.
Pour l'Autriche:
Alfred Stratil.
Walter Kudrna.
Josef Bayer.
Pour le Commonwealth des Bahamas:
Barrett A. Russel.
Leander A. Bethel.
John A. M. Halkitis.
Pour l'Etat de Bahreïn:
Abdul Shaheed Al-Sateeh.
Pour la République populaire du Bangladesh:
Fazlur Rahman.
Mazhar-Ul-Hannan.
Pour la Barbade:
Jacqueline Wiltshire-Forde.
Pour la République du Bélarus:
Valashchuk Vasil.
Pour la Belgique:
Eric Van Heesvelde.
Pour la République du Bénin:
Seidou Amadou.
Bachabi Flavien.
Vignon Honore.
Pour le Royaume du Bhoutan:
Tshering Dorji.
Pour la République de Bolivie:
Raúl J. Campero Paz.
Pour la République de Bosnie-Herzégovine:
Osman Music.
Pour la République du Botswana:
Armando V. Lionjanga.
Olebile Gaborone.
Pour la République fédérative du Brésil:
Jorge de Moraes Jardim Filho.
Lourenço Nassib Chehab.
Pour Brunéi Darussalam:
HJ. Marsad Bin HJ. Ismail.
PG. HJ. Mohd Zain PG. HJ. Abd Razak.
Pour la République de Bulgarie:
K. Mirski.
N. Dicov.
Pour le Burkina Faso:
Zouli Bonkoungou.
Brahima Sanou.
Pour la République du Burundi:
Ngendabanka Ferdinand.
Niyokindi Fiacre.
Pour le Royaume du Cambodge:
So Khun.
Pour la République du Cameroun:
Dakole Daissala.
Bisseck Herve Guillaume.
Angoula Dieudonne.
Tallah William.
Maga Richard.
Wanmi François.
Kamdem-Kamga Emmanuel.
Djouaka Henri.
Pour le Canada:
Pierre Gagne.
Pour la République du Cap-Vert:
Antonio Pedro de Sousa Lobo.
Pour la République centrafricaine:
Joseph-Vermond Tchendo.
Joseph Boykota Zouketia.
Philippe Manga-Mabada.
Pour le Chili:
Maria Eliana Cuevas.
Pour la République populaire de Chine:
Wu Jichuan.
Zhao Xintong.
Pour la République de Chypre:
Lazaros S. Savvides.
Pour l'Etat de la Cité du Vatican:
Pier Vincenzo Giudici.
Pour la République de Colombie:
Hector Arenas Neira.
Pour la République fédéral islamique des Comores:
Ahmed Yahaya.
Pour la République de Corée:
Dong-Yoon Yoon.
Sung-Deuk Park.
Jong-Soon Lee.
Sung-Hae Lee.
Young-Kil Suh.
Chang-Hwan Park.
Myung-Sun Choi.
Pour Costa Rica:
Oscar E. Rodriguez.
Pour la République de Côte d'Ivoire:
Akossi Akossi.
Yao Kouakou Jean-Baptiste.
Pour la République de Croatie:
Dominik Filipovic.
Pour Cuba:
Fernandez Mac-Beath Hugo.
Rodriguez Acosta Francisco.
Pour le Danemark:
Erik Mollmann.
Mette J. Konner.
Hans Eriksen.
Pour la République de Djibouti:
Abdourazak Ali Abaneh.
Pour la République arabe d'Egypte:
Mahmoud El-Nemr.
Pour la République d'El Salvador:
Jefrey H. Smulyan.
Pour les Emirats arabes unis:
Abdulla Al Mehrezi.
Pour l'Equateur:
Adolfo Loza Argüello.
Pour l'Espagne:
Javier Nadal Ariño.
Pour la République d'Estonie:
Juri Joema.
Pour les Etats-Unis d'Amérique:
Jeffrey H. Smulyan.
Pour l'Ethiopie:
Fikru Asfaw.
Gelaneh Taye.
Pour la République de Fidji:
Turaganivalu Josua.
Vada Marika.
Pour la Finlande:
Reijo Svensson.
Pour la France:
Jean Bressot.
Dominique Garnier.
Lucien Bourgeat.
Pour la République gabonaise:
Jocktane Christian Daniel.
Massima Landji Jean Jacques.
Essonghe Ewamdongo Serge.
Ogandaga Jean.
Pour la République de Gambie:
Bakary K. Njie.
Momodou Mamour Jagne.
Pour la République de Géorgie:
K. Mirski.
Pour le Ghana:
Dzang C. K.
Pour la Grèce:
Vassilios Costis.
Anastase Nodaros.
Pour la République de Guinée:
Mamadou Malal Diallo.
Souare Souleymane.
Sow Mamadou Dioulde.
Barry Mamadou Pathe.
Pour la Guyana:
Roderick Sanatan.
Pour la République de Hongrie:
Kálmán Kovács.
Pour la République de l'Inde:
M. G. Kulkarni.
A. M. Joshi.
R. J. S. Kushvaha.
Pour la République d'Indonésie:
Jonathan L. Parapak.
Djakaria Purawidjaja.
Pour la République islamique d'Iran:
Hossein Mahyar.
Pour l'Irlande:
S. Fitzgerald.
S. MacMahon.
Pour l'Islande:
Thorbardur Jonsson.
Pour l'État d'Israël:
R. H. Menachem Oholy.
Pour l'Italie:
Antonello Pietromarchi.
Pour la Jamaïque:
Roy R. Humes.
Pour le Japon:
Yohei Kono.
Pour le Royaume hachémite de Jordanie:
Humoud Jabali.
Pour la République du Kazakhstan:
Aligoujinov Serik.
Pour la République du Kenya:
Dalmas Otieno Anyango.
Samson K. Chemai.
Muriuki Mureithi.
Alice Koech.
Daniel K. Githua.
Reuben M. J. Shingirah.
Samwel Ouma Otieno.
Wilson Ndungu Wainaina.
Pour l'Etat du Koweït:
Adel Al-Ibrahim.
Sami Khaled Al-Amer.
Mustafa H. Hashem.
Abdul-Rahman A. Al-Shatti.
Abdulwahab A. H. Al-Saneen.
Abdulkarim H. Saleem.
Yacoub Al-Sabti.
Hameed Al-Qattan.
Sameera Mohamd.
Pour la République démocratique populaire Lao:
Khamsing Sayakone.
Pour le Royaume du Lesotho:
Sello Molupe.
Pour la République de Lettonie:
Guntis Berzins.
Janis Lelis.
Pour l'ex-République yougoslave de Macédoine:
Maksim Angelevski.
Pour le Liban:
Samir Chamma.
Maurice Ghazal.
Pour la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste:
Hoda Bukhari.
Gherwi Ali Mohamed.
Zakaria El-Hammali.
Amer Salem Oun.
El-Mahjoub Ammar.
Pour la Principauté de Liechtenstein:
Frederic Riehl.
Pour le Luxembourg:
Paul Schuh.
Charles Dondelinger.
Pour la République de Madagascar:
Andriamanjato Ny Hasina.
Pour la Malaisie:
Hod Parman.
Zakaria Che Noor.
Pour le Malawi:
Steven Jiles Foster Smith Muiga.
Manson Mike Makawa.
Ewen Sangster Hiwa.
Pour la République des Maldives:
Hussain Shareef.
Pour la République du Mali:
Idrissa Samake.
Pour Malte:
Joseph Bartolo.
George J. Spiteri.
Ronald Azzopardi Caffari.
Pour le Royaume du Maroc:
Wakrim Mohamed.
Pour la République de Maurice:
Ramesh C. Gopee.
Pour la République islamique de Mauritanie:
Sidi Ould Mohamed Lemine.
Pour le Mexique:
Luis Manuel Brown Hernandez.
Pour la République de Moldova:
Ion Casian.
Ion Coshuleanu.
Pour la Principauté de Monaco:
E. Franzi.
Pour la Mongolie:
Tserendash Damiran.
Pour la République du Mozambique:
Rui Jorge Gomes Lousa.
Rui Jorge Lourenço Fernandes.
João Jorge.
Pour la République de Namibie:
Marco Mukoso Hausiku.
Sacy Amunyela.
Pour le Népal:
Purushottam Lal Shrestha.
Pour la République du Niger:
Maliki Amadou.
Tinni Ate.
Sadou Moussa.
Pour la République fédérale du Nigéria:
Titilola Adewale Odegbile.
E. B. Ojeba.
Pour la Norvège:
Jens C. Koch.
Pour la Nouvelle-Zélande:
Ian R. Hutchings.
Mark E. Holman.
Alan C. J. Hamilton.
Pour le Sultanat d'Oman:
Noor Bin Mohamed Abdul Rehman.
Pour la République de l'Ouganda:
Francis Patrick Masambu.
Wilson Otonyo Wanyama.
Pour la République d'Ouzbékistan:
Rakhimov K. R.
Pour la République islamique du Pakistan:
Nazir Ahmed.
Pour la Papouasie-Nouvelle-Guinée:
Aiwa Olmi.
David Kariko.
Robert Tovi.
Annesley de Soyza.
Pour la République du Paraguay:
Federico M. Mandelburger.
Pour le Royaume des Pays-Bas:
A. de Ruiter.
Pour le Pérou:
Chian Chong Carlos.
Pour la République des Philippines:
Josefina T. Lichauco.
Kathleen G. Heceta.
Pour la République de Pologne:
Wojciech Marian Halka.
Pour le Portugal:
Fernando Abílio Rodrigues Mendes.
Luís M. P. Garcia Pereira.
Luciano S. Pereira da Costa.
Paulo J. Pontes T. de Oliveira.
José A. Silva Gomes.
Carlos Alberto Roldão Lopes.
Pour l'Etat du Qatar:
Hashem A. Al-Hashemi.
Abdulwahed Fakhroo.
Pour la République arabe syrienne:
Suliman Mando.
Pour la République kirghize:
Bektenov E.
Pour la République slovaque:
Vanek Stanislav.
Pour la République tchèque:
Marcela Gurlichova.
Pour la Roumanie:
Turicu Adrian.
Pour le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord:
Michael Goddard.
Neil Mcmillan.
Malcolm Johnson.
Susan Bishop.
Pour la Fédération de Russie:
Vladimir Boulgak.
Pour la République de Saint-Marin:
Luciano Capicchioni.
Ivo Grandoni.
Michele Giri.
Pour Saint-Vincent-et-Grenadines:
Jeremiah C. Scott.
Pour l'Etat indépendant du Samoa-Occidental:
Sapa'u Ruperake Petaia.
Pour la République du Sénégal:
Abdoulaye Elimane Kane.
Aladji Amadou Thiam.
Cheikh A. Tidiane Ndiongue.
Souleymane Mbaye.
Pour la République de Singapour:
Lim Choon Sai.
Loo Hui Su.
Valerie d'Costa.
Pour la République de Slovénie:
Erih-Janez Gril.
Pour la République du Soudan:
Mustafa Ibrahim Mohamed.
Abdelwahab Gamal Mohamed.
Pour la République sudafricaine:
Pallo Jordan.
Pour la Suède:
Curt Andersson.
Pour la Confédération suisse:
Frederic Riehl.
Pour la République du Suriname:
L. C. Johanns.
R. G. Adama.
Regemi F. CH. Fraser.
M. Erwin Emanuels.
Pour le Royaume du Swalizand:
Ephraim S. F. Magagula Ma.
Buekilanga S. Malinga.
Alfred Sipho Dlamini.
Basílio Fanukwente Manana.
Pour la République du Tadjikistan:
Rakhimov K. R.
Pour la République-Unie de Tanzanie:
Adolar Barnadas Mapunda.
Emmanuel Nathaniel Olekam Bainei.
Pour la République du Tchad:
Hadjaro Barkaye.
Diassibe Tingabaye.
Haroun Mahamat.
Pour la Thaïlande:
Aswin Saovaros.
Kitti Yupho.
Pour la République togolaise:
Ayikoe Paul Kossivi.
Ably-Bidamon Dederiwe.
Pour le Royaume des Tonga:
Sione Kite.
Pour la Tunisie:
Ridha Azaiez.
Pour le Turkménistan:
Valashchuk Vasil.
Pour la Turquie:
Veli Bettemir.
Cengiz Anik.
Pour l'Ukraine:
Klikich Anatoly.
Reshetnyak Volodymyr.
Pour la République orientale de l'Uruguay:
Juan de La Cruz Silveira Zavala.
Juan José Camelo Abeceira.
Pour la République du Venezuela:
José António Rodriguez Rodriguez.
Pour la République socialiste du Viet Nam:
Mai Liem Truc.
Pour la République du Yémen:
Abdelgader A. Ibrahim.
Pour la République de Zambie:
Syamuntu Mukuli Martin.
Pour la République du Zimbabwe:
Lamech T. D. Marume.
Joshua Chideme.
Dzimbanhete Fredson Matavire.
Instrument d'amendement à la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992)
[Amendements adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994)]
PARTIE I
Avant-propos
En vertu et en application des dispositions pertinentes de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), et notamment des dispositions de son article 42, la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) a adopté les amendements ci-après à la Convention précitée:
Article 4 (CV)
Le Conseil
MOD 50 1 - Le nombre de Membres du Conseil est fixé par la Conférence de plénipotentiaires qui se tient tous les quatre ans.
MOD 50A 2 - Ce nombre ne doit pas dépasser 25% du nombre total des Membres de l'Union.
MOD 80 14) Est chargé d'assurer la coordination avec toutes les organisations internationales visées aux articles 49 et 50 de la Constitution. A cet effet, il conclut au nom de l'Union des accords provisoires avec les organisations internationales visées à l'article 50 de la Constitution et aux numéros 260 et 261 de la Convention et avec les Nations Unies en application de l'Accord entre l'Organisation des Nations Unies et l'Union internationale des télécommunications; ces accords provisoires doivent être soumis à la Conférence de plénipotentiaires suivante conformément à la disposition pertinente de l'article 8 de la Constitution.
Article 7 (CV)
Conférences mondiales des radiocommunications
MOD 118 2) Le cadre général de cet ordre du jour devrait être fixé quatre ans à l'avance, et l'ordre du jour définitif est fixé par le Conseil de préférence deux ans avant la conférence, avec l'accord de la majorité des Membres de l'Union, sous réserve des dispositions du numéro 47 de la présente Convention. Ces deux versions de l'ordre du jour sont fondées sur les recommandations de la conférence mondiale des radiocommunications en application des dispositions du numéro 126 de la présent Convention.
Article 19 (CV)
Participation d'entités et organisations autres que les administrations aux activités de l'Union
MOD 239 9 - Une entité ou une organisation visée au numéro 229 ou 230 ci-dessus peut agir au nom du Membre qui l'a approuvée, si celui-ci fait savoir au directeur du Bureau intéressé qu'il l'a autorisée à cet effet.
Article 23 (CV)
Invitation et admission aux Conférences de plénipotentiaires lorsqu'il y a un gouvernement invitant
MOD 258 3 - Le Secrétaire général invite en qualité d'observateurs:
ADD 262A e) Les entités et organisations visées au numéro 229 de la présente Convention et les organisations ayant un caractère international représentant ces entités et organisations.
(MOD) 269 b) Les observateurs des organisations et institutions invitées conformément aux numéros 259 à 262A.
Article 24 (CV)
Invitation et admission aux conférences des radiocommunications lorsqu'il y a un gouvernement invitant
MOD 271 2 - 1) Les dispositions des numéros 256 à 265 de la présente Convention, à l'exception du numéro 262A, sont applicables aux conférences des radiocommunications.
Article 32 (CV)
Règlement intérieur des conférences et autres réunions
MOD 379 2) Le texte de toute proposition importante qui doit faire l'objet d'un vote doit être distribué dans les langues de travail de la conférence suffisamment tôt pour permettre son étude avant la discussion.
Article 33 (CV) (ver nota *)
Finances
NOC 475 4 - Les dispositions suivantes s'appliquent aux contributions des organisations visées aux numéros 259 à 262 et des entités admises à participer aux activités de l'Union conformément aux dispositions de l'article 19 de la présente Convention.
(MOD) 476 1) Les organisations visées aux numéros 259 à 262 de la présente Convention et d'autres organisations internationales qui participent à une Conférence de plénipotentiaires, à un Secteur de l'Union ou à une conférence mondiale des télécommunications internationales contribuent aux dépenses de cette conférence ou de ce Secteur conformement aux numéros 479 à 481 ci-dessous, selon le cas, sauf quand elles ont été exonérées par le Conseil, sous réserve de réciprocité.
(MOD) 477 2) Toute entité ou organisation figurant dans les listes mentionnées au numéro 237 de la présente Convention contribue aux dépenses du Secteur conformément aux numéros 479 et 480 ci-dessous.
(MOD) 478 3) Toute entité ou organisation figurant dans les listes mentionnées au numéro 237 de la présente Convention qui participe à une conférence des radiocommunications, à une conférence mondiale des télécommunications internationales ou à une conférence ou une assemblée d'un Secteur dont elle n'est pas membre contribue aux dépenses de cette conférence ou de cette assemblée conformément aux numéros 479 et 481 ci-dessous.
(MOD) 479 4) Les contributions mentionnées aux numéros 476, 477 et 478 sont basées sur le libre choix d'une classe de contribution de l'échelle qui figure au numéro 468 ci-dessus, à l'exclusion des classes de 1/4, de 1/8 et de 1/16 d'unité réservées aux Membres de l'Union (cette exclusion ne s'applique pas au Secteur du développement des télécommunications); la classe choisie est communiquée au Secrétaire général; l'entité ou l'organisation concernée peut à tout moment choisir une classe de contribution supérieure à celle qu'elle avait adoptée auparavant.
(MOD) 480 5) Le montant de la contribution par unité aux dépenses de chaque Secteur concerné est fixé à 1/5 de l'unité contributive des Membres de l'Union. Ces contributions sont considérées comme une recette de l'Union. Elles portent intérêt conformément aux dispositions du numéro 474 ci-dessus.
(MOD) 481 6) Le montant de la contribution par unité aux dépenses d'une conférence ou d'une assemblée est fixé en divisant le montant total du budget de la conférence ou de l'assemblée en question par le nombre total d'unités versées par les Membres au titre de leur contribution aux dépenses de l'Union. Les contributions sont considérées comme une recette de l'Union. Elles portent intérêt à partir du soixantième jour qui suit l'envoi des factures, aux taux fixés au numéro 474 ci-dessus.
(MOD) 482 7) La réduction du nombre d'unités de contribution n'est possible que conformément aux principes énoncés dans les dispositions pertinentes de l'article 28 de la Constitution.
(MOD) 483 8) En cas de dénonciation de la participation aux travaux d'un Secteur ou s'il est mis fin à cette participation (voir le numéro 240 de la présente Convention), la contribution doit être acquittée jusqu'au dernier jour du mois où la dénonciation prend effet ou du mois où il est mis fin à la participation.
(MOD) 484 5 - Le prix de vente des publications est déterminé par le Secrétaire général, en s'inspirant du souci de couvrir, en règle générale, les dépenses de reproduction et de distribution.
(MOD) 485 6 - L'Union entretient un fonds de réserve constituant un capital de roulement permettant de faire front aux dépenses essentielles et de maintenir des réserves en espèces suffisantes pour éviter, dans la mesure du possible, d'avoir recours à des prêts. Le Conseil fixe annuellement le montant du fonds de réserve en fonction des besoins prévus. A la fin de chaque exercice budgétaire biennal, tous les crédits budgétaires qui n'ont pas été dépensés ou engagés sont placés dans le fonds de réserve. Les autres détails relatifs à ce fonds de réserve sont décrits dans le Règlement financier.
(MOD) 486 7 - 1) En accord avec le Comité de coordination, le Secrétaire général peut accepter les contributions volontaires en espèces ou en nature, sous réserve que les conditions applicables à ces contributions soient conformes, le cas échéant, à l'objet et aux programmes de l'Union ainsi qu'au Règlement financier, lequel devra contenir des dispositions spéciales relatives à l'acceptation et à l'emploi de ces contributions volontaires.
NOC 487 2) Le Secrétaire général rend compte de ces contributions volontaires au Conseil dans le rapport de gestion financière et dans un document indiquant brièvement l'origine et l'utilisation proposée de chacune de ces contributions et la suite qui leur a été donnée.
ANNEXE (CV)
MOD 1002 Observateur: personne envoyée par:
- L'Organisation des Nations Unies, une institution spécialisée des Nations Unies, l'Agence internationale de l'énergie atomique, une organisation régionale de télécommunication ou une organisation intergouvernementale exploitant des systèmes à satellites, pour participer à titre consultatif à la Conférence de plénipotentiaires, à une conférence ou à une réunion d'un Secteur;
- Une organisation internationale, pour participer à titre consultatif à une conférence ou à une réunion d'un Secteur;
- Le gouvernement d'un Membre de l'Union, pour participer sans droit de vote à une conférence régionale;
- Une entité ou organisation visée au numéro 229 de la Convention ou une organisation de caractère international représentant de telles entités ou organisations;
conformément aux dispositions pertinentes de la présente Convention.
PARTIE II
Date d'entrée en vigueur
Les amendements contenus dans le présent instrument entreront en vigueur, dans leur totalité et sous la forme d'un seul instrument, le 1 janvier 1996 entre les Membres qui sont parties à la Constitution et à la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et qui auront déposé avant cette date leur instrument de ratification, d'acceptation ou d'approbation du présent instrument ou d'adhésion à celui-ci.
En foi de quoi, les Plénipotentiaires soussignés ont signé l'original du présent instrument d'amendement à la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992).
(nota *) Seule la numérotation des paragraphes des numéros 476 à 486 de la Convention a été modifiée.
Fait à Kyoto, de 14 octobre 1994.
Pour la République algérienne démocratique et populaire:
Ali Hamza.
Pour la République fédérale d'Allemagne:
Ulrich Mohr.
Eberhard George.
Pour la Principauté d'Andorre:
Ricard Rodrigo Monsonis.
Pour la République d'Angola:
Virgílio Marques de Faria.
Pour le Royaume d'Arabie saoudite:
Sami S. Al-Basheer.
Pour la République argentine:
Oscar Martín González.
Eduardo Angel Katsuda.
Guillermo E. Nazar.
Pour l'Australie:
W. J. Henderson.
C. L. Oliver.
Pour l'Autriche:
Alfred Stratil.
Walter Kudrna.
Josef Bayer.
Pour le Commonwealth des Bahamas:
Barrett A. Russel.
Leander A. Bethel.
John A. M. Halkitis.
Pour l'Etat de Bahreïn:
Abdul Shaheed Al-Sateeh.
Pour la République populaire du Bangladesh:
Fazlur Rahman.
Mazhar-Ul-Hannan.
Pour la Barbade:
Jacqueline Wiltshire-Forde.
Pour la République du Bélarus:
Valashchuk Vasil.
Pour la Belgique:
Eric Van Heesvelde.
Pour la République du Bénin:
Seidou Amadou.
Bachabi Flavien.
Vignon Honore.
Pour le Royaume du Bhoutan:
Tshering Dorji.
Pour la République de Bolivie:
Raúl J. Campero Paz.
Pour la République de Bosnie-Herzégovine:
Osman Music.
Pour la République du Botswana:
Armando V. Lionjanga.
Olebile Gaborone.
Pour la République fédérative du Brésil:
Jorge de Moraes Jardim Filho.
Lourenço Nassib Chehab.
Pour Brunéi Darussalam:
HJ. Marsad Bin HJ. Ismail.
PG. HJ. Mohd Zain PG. HJ. Abd Razak.
Pour la République de Bulgarie:
K. Mirski.
N. Dicov.
Pour le Burkina Faso:
Zouli Bonkoungou.
Brahima Sanou.
Pour la République du Burundi:
Ngendabanka Ferdinand.
Niyokindi Fiacre.
Pour le Royaume du Cambodge:
So Khun.
Pour la République du Cameroun:
Dakole Daissala.
Bisseck Herve Guillaume.
Angoula Dieudonne.
Tallah William.
Maga Richard.
Wanmi François.
Kamdem-Kamga Emmanuel.
Djouaka Henri.
Pour le Canada:
Pierre Gagne.
Pour la République du Cap-Vert:
Antonio Pedro de Sousa Lobo.
Pour la République centrafricaine:
Joseph-Vermond Tchendo.
Joseph Boykota Zouketia.
Philippe Manga-Mabada.
Pour le Chili:
Maria Eliana Cuevas.
Pour la République populaire de Chine:
Wu Jichuan.
Zhao Xintong.
Pour la République de Chypre:
Lazaros S. Savvides.
Pour l'Etat de la Cité du Vatican:
Pier Vincenzo Giudici.
Pour la République de Colombie:
Hector Arenas Neira.
Pour la République fédéral islamique des Comores:
Ahmed Yahaya.
Pour la République de Corée:
Dong-Yoon Yoon.
Sung-Deuk Park.
Jong-Soon Lee.
Sung-Hae Lee.
Young-Kil Suh.
Chang-Hwan Park.
Myung-Sun Choi.
Pour Costa Rica:
Oscar E. Rodriguez.
Pour la République de Côte d'Ivoire:
Akossi Akossi.
Yao Kouakou Jean-Baptiste.
Pour la République de Croatie:
Dominik Filipovic.
Pour Cuba:
Fernandez Mac-Beath Hugo.
Rodriguez Acosta Francisco.
Pour le Danemark:
Erik Mollmann.
Mette J. Konner.
Hans Eriksen.
Pour la République de Djibouti:
Abdourazak Ali Abaneh.
Pour la République arabe d'Egypte:
Mahmoud El-Nemr.
Pour la République d'El Salvador:
Jefrey H. Smulyan.
Pour les Emirats arabes unis:
Abdulla Al Mehrezi.
Pour l'Equateur:
Adolfo Loza Argüello.
Pour l'Espagne:
Javier Nadal Ariño.
Pour la République d'Estonie:
Juri Joema.
Pour les Etats-Unis d'Amérique:
Jeffrey H. Smulyan.
Pour l'Ethiopie:
Fikru Asfaw.
Gelaneh Taye.
Pour la République de Fidji:
Turaganivalu Josua.
Vada Marika.
Pour la Finlande:
Reijo Svensson.
Pour la France:
Jean Bressot.
Dominique Garnier.
Lucien Bourgeat.
Pour la République gabonaise:
Jocktane Christian Daniel.
Massima Landji Jean Jacques.
Essonghe Ewamdongo Serge.
Ogandaga Jean.
Pour la République de Gambie:
Bakary K. Njie.
Momodou Mamour Jagne.
Pour la République de Géorgie:
K. Mirski.
Pour le Ghana:
Dzang C. K.
Pour la Grèce:
Vassilios Costis.
Anastase Nodaros.
Pour la République de Guinée:
Mamadou Malal Diallo.
Souare Souleymane.
Sow Mamadou Dioulde.
Barry Mamadou Pathe.
Pour la Guyana:
Roderick Sanatan.
Pour la République de Hongrie:
Kálmán Kovács.
Pour la République de l'Inde:
M. G. Kulkarni.
A. M. Joshi.
R. J. S. Kushvaha.
Pour la République d'Indonésie:
Jonathan L. Parapak.
Djakaria Purawidjaja.
Pour la République islamique d'Iran:
Hossein Mahyar.
Pour l'Irlande:
S. Fitzgerald.
S. MacMahon.
Pour l'Islande:
Thorbardur Jonsson.
Pour l'État d'Israël:
R. H. Menachem Oholy.
Pour l'Italie:
Antonello Pietromarchi.
Pour la Jamaïque:
Roy R. Humes.
Pour le Japon:
Yohei Kono.
Pour le Royaume hachémite de Jordanie:
Humoud Jabali.
Pour la République du Kazakhstan:
Aligoujinov Serik.
Pour la République du Kenya:
Dalmas Otieno Anyango.
Samson K. Chemai.
Muriuki Mureithi.
Alice Koech.
Daniel K. Githua.
Reuben M. J. Shingirah.
Samwel Ouma Otieno.
Wilson Ndungu Wainaina.
Pour l'Etat du Koweït:
Adel Al-Ibrahim.
Sami Khaled Al-Amer.
Mustafa H. Hashem.
Abdul-Rahman A. Al-Shatti.
Abdulwahab A. H. Al-Saneen.
Abdulkarim H. Saleem.
Yacoub Al-Sabti.
Hameed Al-Qattan.
Sameera Mohamd.
Pour la République démocratique populaire Lao:
Khamsing Sayakone.
Pour le Royaume du Lesotho:
Sello Molupe.
Pour la République de Lettonie:
Guntis Berzins.
Janis Lelis.
Pour l'ex-République yougoslave de Macédoine:
Maksim Angelevski.
Pour le Liban:
Samir Chamma.
Maurice Ghazal.
Pour la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste:
Hoda Bukhari.
Gherwi Ali Mohamed.
Zakaria El-Hammali.
Amer Salem Oun.
El-Mahjoub Ammar.
Pour la Principauté de Liechtenstein:
Frederic Riehl.
Pour le Luxembourg:
Paul Schuh.
Charles Dondelinger.
Pour la République de Madagascar:
Andriamanjato Ny Hasina.
Pour la Malaisie:
Hod Parman.
Zakaria Che Noor.
Pour le Malawi:
Steven Jiles Foster Smith Muiga.
Manson Mike Makawa.
Ewen Sangster Hiwa.
Pour la République des Maldives:
Hussain Shareef.
Pour la République du Mali:
Idrissa Samake.
Pour Malte:
Joseph Bartolo.
George J. Spiteri.
Ronald Azzopardi Caffari.
Pour le Royaume du Maroc:
Wakrim Mohamed.
Pour la République de Maurice:
Ramesh C. Gopee.
Pour la République islamique de Mauritanie:
Sidi Ould Mohamed Lemine.
Pour le Mexique:
Luis Manuel Brown Hernandez.
Pour la République de Moldova:
Ion Casian.
Ion Coshuleanu.
Pour la Principauté de Monaco:
E. Franzi.
Pour la Mongolie:
Tserendash Damiran.
Pour la République du Mozambique:
Rui Jorge Gomes Lousa.
Rui Jorge Lourenço Fernandes.
João Jorge.
Pour la République de Namibie:
Marco Mukoso Hausiku.
Sacy Amunyela.
Pour le Népal:
Purushottam Lal Shrestha.
Pour la République du Niger:
Maliki Amadou.
Tinni Ate.
Sadou Moussa.
Pour la République fédérale du Nigéria:
Titilola Adewale Odegbile.
E. B. Ojeba.
Pour la Norvège:
Jens C. Koch.
Pour la Nouvelle-Zélande:
Ian R. Hutchings.
Mark E. Holman.
Alan C. J. Hamilton.
Pour le Sultanat d'Oman:
Noor Bin Mohamed Abdul Rehman.
Pour la République de l'Ouganda:
Francis Patrick Masambu.
Wilson Otonyo Wanyama.
Pour la République d'Ouzbékistan:
Rakhimov K. R.
Pour la République islamique du Pakistan:
Nazir Ahmed.
Pour la Papouasie-Nouvelle-Guinée:
Aiwa Olmi.
David Kariko.
Robert Tovi.
Annesley de Soyza.
Pour la République du Paraguay:
Federico M. Mandelburger.
Pour le Royaume des Pays-Bas:
A. de Ruiter.
Pour le Pérou:
Chian Chong Carlos.
Pour la République des Philippines:
Josefina T. Lichauco.
Kathleen G. Heceta.
Pour la République de Pologne:
Wojciech Marian Halka.
Pour le Portugal:
Fernando Abílio Rodrigues Mendes.
Luís M. P. Garcia Pereira.
Luciano S. Pereira da Costa.
Paulo J. Pontes T. de Oliveira.
José A. Silva Gomes.
Carlos Alberto Roldão Lopes.
Pour l'Etat du Qatar:
Hashem A. Al-Hashemi.
Abdulwahed Fakhroo.
Pour la République arabe syrienne:
Suliman Mando.
Pour la République kirghize:
Bektenov E.
Pour la République slovaque:
Vanek Stanislav.
Pour la République tchèque:
Marcela Gurlichova.
Pour la Roumanie:
Turicu Adrian.
Pour le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord:
Michael Goddard.
Neil Mcmillan.
Malcolm Johnson.
Susan Bishop.
Pour la Fédération de Russie:
Vladimir Boulgak.
Pour la République de Saint-Marin:
Luciano Capicchioni.
Ivo Grandoni.
Michele Giri.
Pour Saint-Vincent-et-Grenadines:
Jeremiah C. Scott.
Pour l'Etat indépendant du Samoa-Occidental:
Sapa'u Ruperake Petaia.
Pour la République du Sénégal:
Abdoulaye Elimane Kane.
Aladji Amadou Thiam.
Cheikh A. Tidiane Ndiongue.
Souleymane Mbaye.
Pour la République de Singapour:
Lim Choon Sai.
Loo Hui Su.
Valerie d'Costa.
Pour la République de Slovénie:
Erih-Janez Gril.
Pour la République du Soudan:
Mustafa Ibrahim Mohamed.
Abdelwahab Gamal Mohamed.
Pour la République sudafricaine:
Pallo Jordan.
Pour la Suède:
Curt Andersson.
Pour la Confédération suisse:
Frederic Riehl.
Pour la République du Suriname:
L. C. Johanns.
R. G. Adama.
Regemi F. CH. Fraser.
M. Erwin Emanuels.
Pour le Royaume du Swalizand:
Ephraim S. F. Magagula Ma.
Buekilanga S. Malinga.
Alfred Sipho Dlamini.
Basílio Fanukwente Manana.
Pour la République du Tadjikistan:
Rakhimov K. R.
Pour la République-Unie de Tanzanie:
Adolar Barnadas Mapunda.
Emmanuel Nathaniel Olekam Bainei.
Pour la République du Tchad:
Hadjaro Barkaye.
Diassibe Tingabaye.
Haroun Mahamat.
Pour la Thaïlande:
Aswin Saovaros.
Kitti Yupho.
Pour la République togolaise:
Ayikoe Paul Kossivi.
Ably-Bidamon Dederiwe.
Pour le Royaume des Tonga:
Sione Kite.
Pour la Tunisie:
Ridha Azaiez.
Pour le Turkménistan:
Valashchuk Vasil.
Pour la Turquie:
Veli Bettemir.
Cengiz Anik.
Pour l'Ukraine:
Klikich Anatoly.
Reshetnyak Volodymyr.
Pour la République orientale de l'Uruguay:
Juan de La Cruz Silveira Zavala.
Juan José Camelo Abeceira.
Pour la République du Venezuela:
José António Rodriguez Rodriguez.
Pour la République socialiste du Viet Nam:
Mai Liem Truc.
Pour la République du Yémen:
Abdelgader A. Ibrahim.
Pour la République de Zambie:
Syamuntu Mukuli Martin.
Pour la République du Zimbabwe:
Lamech T. D. Marume.
Joshua Chideme.
Dzimbanhete Fredson Matavire.
Déclarations et réserves faites à la fin de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications
(Kyoto, 1994) (ver nota *)
En signant le présent document, qui fait partie des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), les plénipotentiaires soussignés confirment qu'ils ont pris acte des déclarations et réserves suivantes faites à la fin de la Conférence:
1
Original: espagnol.
Pour le Costa Rica:
La Délégation du Costa Rica à la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994):
1) Déclare qu'elle réserve à son Gouvernement le droit:
a) De prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts et ses services de télécommunication au cas où certains Membres n'observeraient pas les dispositions des Actes finals de cette Conférence (Kyoto, 1994);
b) De formuler les réserves qu'il jugera nécessaires, jusqu'à la date de ratification des Actes finals de cette Conférence (Kyoto, 1994), sur les dispositions desdits Actes finals qui seraient contraires à la Constitution du Costa Rica;
2) Que le Costa Rica ne sera lié par les instruments de l'Union internationale des télécommunications, notamment la Constitution, la Convention, les Règlements administratifs et les amendements ou modifications desdits instruments, que lorsqu'il aura expressément déclaré qu'il accepte les obligations découlant de chancun des instruments précités et après avoir appliqué au préalable les procédures correspondantes de la Constitution.
2
Original: français.
Pour la République du Cameroun:
1 - La Délégation de la République du Cameroun à la Conférence de plénipotentiaires de l'UIT (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estime nécessaires pour protéger ses intérêts si un Membre de l'Union n'observe pas les dispositions des présents Actes finals ou des annexes ou protocoles qui y sont joints, ou si des réserves faites par d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
2 - La Délégation de la République du Cameroun réserve en outre à son Gouvernement le droit de faire, en tant que de besoin, d'autres réserves aux présents Actes finals.
3
Original: français.
Pour la République du Burundi:
La Délégation de la République du Burundi réserve à son Gouvernement le droit de:
1) Prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres n'observeraient pas, de quelque façon que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) ou des annexes et protocoles qui y sont joints ou encore si des réserves formulées par d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication;
2) Accepter ou non toute mesure susceptible de donner lieu à une augmentation de sa part contributive.
4
Original: espagnol.
Pour l'Equateur:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) la Délégation de l'Equateur réserve à son gouvernement le droit de prendre toute mesure qu'il pourra juger nécessaire, conformément à son droit souverain, ordre juridique national et au droit international, au cas où ses intérêts seraient lésés sous une forme ou une autre, par un acte quelconque d'autres pays.
5
Original: anglais.
Pour la République islamique d'Iran:
Au nom de Dieu, le très elément, le très compatissant, en signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) la Délégation de la République islamique d'Iran réserve à son Gouvernement le droit:
1) De prendre toutes mesures qu'il pourrait estimer nécessaires ou toutes mesures requises pour protéger ses drois et ses intérêts si d'autres Membres de l'Union n'observaient pas de quelquer autre manière que ce soit les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), des annexes, des protocoles ou des Règlements qui y sont joints;
2) De protéger ses intérêts si certains Membres de l'Union ne prenaient pas leur part des dépenses de l'Union ou si les réserves formulées par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement des services de télécommunication de la République islamique d'Iran;
3) De ne pas être lié par les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) ni par les dispositions des instruments d'amendement adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), qui peuvent directement ou indirectement porter atteinte à sa souveraineté et contrevenir à la Constitution, aux lois et aux règlements de la République islamique d'Iran;
4) De faire d'autres réserves ou déclarations jusqu'à la ratification de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Géneve, 1992) et ses amendements.
6
Original: espagnol.
Pour la République du Venezuela:
La Délégation de la République du Venezuela réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où d'autres Membres, actuels ou futurs, ne se conformeraient pas aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), de ses annexes ou des protocoles qui y sont attachés, ou encore si des réserves formulées par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
Elle formule également des réserves au cas où l'application par d'autres membres des dispositions de la Cons-titution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) aurait des conséquences négatives sur l'utilisation de l'orbite des satellites géostationnaires et du spectre des fréquences radioélectriques par ses services de télécommunication, entraverait ou encore retarderait l'application des procédures de notification, de coordination et d'enregistrement.
Elle formule en outre des réserves au sujet des articles de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) relatifs à l'arbitrage comme moyen de règlement des différends, conformément à la politique internationale du Gouvernement du Venezuela en la matière.
7
Original: anglais.
Pour la République du Zimbabwe:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de la République du Zimbabwe déclare que son gouvernement se réserve le droit de prendre toute mesure qu'il pourrait juger nécessaire pour protéger ses intérêts, au cas où un Membre n'observerait pas ou ne respecterait les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) ou protocoles, annexes et règlements qui y sont joints ou si des réserves d'autres pays compromettaient de le bon fonctionnement de son Secteur des télécommunications.
8
Original: anglais.
Pour le Royaume du Bhoutan:
La Délégation du Royaume du Bhoutan à la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si certains membres n'observaient pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), ou des annexes ou protocoles qui y sont joints, ou si des réserves formulées par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
9
Original: français.
Pour la République gabonaise:
La Délégation de la République gabonaise réserve à son Gouvernement le droit:
1) De prendre toutes mesures nécessaires pour protéger ses intérêts si certains Membres n'observaient pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union international des télécommunications (Kyoto, 1994) ou si des réserves faites par d'autres Membres étaient de nature à compromettre le fonctionnment de ses services de télécommunication;
2) D'accepter ou non les conséquences financières qui pourraient éventuellement résulter de ces réserves.
10
Original: anglais.
Pour la République de Zambie:
La Délégation de la République de Zambie à la Conférence de plénipotentiaires addicionnelle de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) réserve le droit à son Gouvernement de prendre toutes les mesures qu'il jugera nécessaires pour sauvegarder ses intérêts dans le cas où des Membres de l'Union ne respecteraient pas, d'une façon ou d'une autre, les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution ou de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) ou si des réserves faites par ces Membres affectaient directement ou indirectement le fonctionnement de ses services de télécommunication ou sa souveraineté.
La Délégation de la République de Zambie réserve en outre à son Gouvernement le droit de faire d'autres réserves, selon que de besoin, jusques et y compris la date de la ratification par la République de Zambie des amendements à la Constitution et la Convention adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994).
11
Original: anglais.
Pour la République d'Indonésie:
Au nom de la République d'Indonésie, la Délégation de la République d'Indonésie à la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994):
1) Réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes dispositions et mesures de protection qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts nationaux si des dispositions quelconques de la Constitution, de la Convention et des Résolutions ainsi que toute décision de la Conférence de plénipotentiaires de l'UIT (Kyoto, 1994) affectaient directement ou indirectement sa souveraineté ou étaient contraires à la Cons-titution, à la législation et à la réglementation de la République d'Indonésie en tant que partie à d'autres traités et conventions et qui découlent pour elle de tout principe du droit international;
2) Réserve en outre à son Gouvernement le droit de prendre toutes dispositions et mesures de protection qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts nationaux si un Membre quelconque n'observait pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions des instruments d'amendements de la Constitution et de la Convention de l'UIT (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) ou si les conséquences des réserves formulées par un Membre quelconque compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou conduisaient à une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
12
Original: anglais.
Pour la Malaisie:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de la Malaisie réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres ne prendraient pas leur part aux dépenses de l'Union ou manqueraient, d'une autre manière, de se conformer aux dispositions des Cons-titution et Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), ou des annexes qui y sont attachées, ou encore si des réserves d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement des services de télécommunication de la Malaisie.
13
Original: espagnol.
Pour l'Espagne:
La Délégation de l'Espagne, en vertu des dispositions de la Convention de Vienne sur le Droit des traités du 23 mai 1969, réserve au Royaume d'Espagne le droit de formuler des réserves pour les Actes finals adoptés par la présente Conférence, jusqu'au moment du dépôt de l'instrument de ratification approprié.
14
Original: anglais.
Pour le Brunéi Darussalam:
La Délégation du Brunéi Darussalam réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts si un pays manquait, de quelque manière que ce soit, aux obligations qui découlent de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Gèneve, 1992), telles que modifiées par les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), ou des annexes et des protocoles qui y sont joint, ou si les réserves faites par d'autres pays étaient préjudiciables aux intérêts du Brunéi Darussalam ou entraînaient une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
La Délégation du Brunéi Darussalam réserve également à son Gouvernement le droit de formuler les réserves supplémentaires qu'il pourra estimer nécessaires jusqu'au jour, inclusivement, de la ratification par le Brunéi Darussalam de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et ses amendements (Kyoto, 1994).
15
Original: français.
Pour la République algérienne démocratique et populaire:
La Délégation de la République algérienne démocratique et populaire à la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts, au cas où certains Membres n'observeraient pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), ou si les réserves formulées par les autres Membres devaient compromettre ses services de télécommunication ou entraîner une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
16
Original: français.
Pour la République du Tchad:
En signant les instruments portant amendements à la Constitution et à la Convention (Genève, 1992), la Délégation de la République du Tchad à la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) réserve le droit à son Gouvernement de prendre toutes les mesures qu'il jugera nécessaires:
1) Si un Membre n'observait pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention (Kyoto, 1994) et leurs annexes respectives;
2) Si les réserves formulées par d'autres Membres tendaient à compromettre le bon fonctionnement et la bonne exploitation technique des services des télécommunications de la République du Tchad.
Par ailleurs, la Délégation de la République du Tchad réserve à son Gouvernement le droit de faire toute déclaration ou réserve au moment de la ratification de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications.
17
Original: anglais.
Pour le Royaume du Swaziland:
En signant les Actes finals de la présente Conférence de plénipotentiaires, la Délégation du Royaumne du Swaziland réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour sauvegarder ses intérêts dans le cas où des Membres ne respecteraient pas, d'une façon ou d'une autre, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) ou les annexes et règlements qui y sont joints, ou si des réserves faites par d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
18
Original: anglais.
Pour la République du Soudan:
La Délégation de la République du Soudan réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si un Membre n'observait pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), telles que modifiées par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), ou encore si les réserves formulées par d'autres Membres devaient compromettre le bon fonctionnement des services de télécommunication de la République du Soudan ou aboutir à une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
19
Original: français.
Pour le Burkina Faso:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), la Délégation du Burkina Faso réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger les intérêts du Burkina Faso:
1) Si un Membre n'observait pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) et leurs annexes respectives;
2) Si certains Membres ne prenaient pas leurs parts aux dépenses de l'Union;
3) Si les réserves formulées par d'autres Membres étaient susceptibles de compromettre le bon fonctionnement et la bonne exploitation technique et/ou commerciale des services de télécommunication au Burkina Faso.
La Délégation du Burkina Faso réserve par ailleurs à son Gouvernement le droit de faire toute déclaration ou réserve au moment de la ratification des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994).
20
Original: anglais.
Pour l'Ethiopie:
En signant les Actes finals des Constitution et Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de l'Ethiopie réserve pour son Gouvernement le droit:
1) De faire toute réserve qu'il jugera appropriée en ce qui concerne tout texte, résolution, recommandation ou voeu figurant dans les Constitution et Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), qui pourrait affecter directement ou indirectement ses intérêts ou le bon fonctionnement de ses services de télécommunication;
2) De prendre toute mesure qu'il pourrait juger nécessaire pour sauvegarder et protéger ses intérêts si un Membre quelconque de l'Union faillissait au respect des dispositions de la Constitution et de la Convention;
3) De faire toute autre déclaration ou réserve jusqu'au moment où il ratifiera les Constitution et Convention de Kyoto.
21
Original: anglais.
Pour le Malawi:
La Délégation du Malawi à la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts si des Membres n'observaient pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), ou si les annexes et règlements qui y sont joints, ou des réserves faites par des Membres de l'Union compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
22
Original: espagnol.
Pour la République orientale de l'Uruguay:
La Délégation de la République orientale de l'Uruguay déclare, au nom de son Gouvernement, que celui-ci se réserve le droit de prendre les mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où d'autres Membres n'observeraient pas les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) ou du Protocole facultatif, ou si des réserves formulées par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
23
Original: anglais.
Pour la République populaire de Chine:
La Délégation de la République populaire de Chine, en signant les présents Actes finals, réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts si un Membre, de quelque manière que ce soit, ne se conformait pas aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), ou de leurs annexes, ou encore si des réserves formulées par d'autres pays compromettaient ses intérêts.
24
Original: anglais.
Pour la République de l'Ouganda:
En signant les Actes finals, la Délégation de la République de l'Ouganda réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si un Membre, de quelque manière que ce soit, ne se conformait pas aux exigences des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), de ses annexes ou des protocoles qui y sont joints ou encore si les réserves formulés par d'autres pays devaient nuire à ses intérêts.
25
Original: anglais.
Pour la République-Unie de Tanzanie:
La Délégation de la République-Unie de Tanzanie à la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour sauvegarder ses intérêts au cas où des Membres manqueraient d'observer, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), ou si des réserves formulées par d'autres Membres devaient compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou entraîner une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
26
Original: anglais.
Pour la République algérienne démocratique et populaire, l'Etat de Bahrein, la République fédérale islamique des Comores, la République de Djibouti, la République islamique d'Iran, l'Etat du Koweït, le Liban, la République islamique de Mauritanie, le Sultanat d'Oman, la République islamique du Pakistan, l'Etat du Qatar, le Royaume d'Arabie saoudite, la République du Soudan, la République arabe syrienne, la Tunisie, les Emirats arabe unis, la République du Yémen:
Les Délégations susmentionnées à la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) déclarent que la signature et la ratification éventuelle par leurs Gouvernements respectifs des Actes finals de ladite Conférence ne sont pas valables vis-à-vis du Membre de l'UIT figurant sous l'appellation d'«Israël» et n'impliquent aucunement la reconnaissance de ce Membre par ces Gouvernements.
27
Original: français.
Pour la République de Guinée:
La Délégation de la République de Guinée à la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres n'observeraient pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), ou si des réserves faites par d'autres pays devaient compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou entraîner une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
28
Original: anglais.
Pour la République de Saint-Marin:
En signant le Protocole final de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de la République de Saint-Marin réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où un Membre ne se conformerait pas, de quelque manière que ce soit, aux dispositions de la Constitution et de la Convention, de ses annexes ou des protocoles qui y sont joints et des règlements administratifs.
Le Gouvernement de la République de Saint-Marin se réserve également le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires si les réserves formulées par d'autres Membres limitaient ou compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
29
Original: anglais.
Pour le Commonwealth des Bahamas:
Le Délégation du Commonwealth des Bahamas réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où un Membre de l'Union n'observerait pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et la Convention (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto (1994), ou d'un instrument qui y est joint, ou si des réserves formulées par un autre pays devaient compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
30
Original: français.
Pour la République du Mali:
La Délégation de la République du Mali, en signant les Actes finals de cette Conférence, réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures et actions nécessaires pour protéger ses droits et intérêts nationaux au cas où certains Membres de l'Union manqueraient, de quelque manière que ce soit, de respecter les dispositions esdits Actes et compromettraient directement ou indirectement les intérêts de ses services de télécommunication ou mettraient en danger la sécurité ou la souveraineté nationale.
31
Original: anglais.
Pour la République islamique du Pakistan:
La Délégation de la République islamique du Pakistan réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts, au cas où un Membre n'observerait pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et la Convention (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto (1994), ou des annexes qui y sont jointes, ou encore si les réserves formulées par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou entraînaient une augmentation de sa contribution aux dépenses de l'Union.
32
Original: anglais.
Pour la République arabe syrienne:
La Délégation de la République arabe syrienne déclare que son Gouvernement se réserve le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts, au cas où un Membre ne se conformerait pas, de quelque façon que ce soit, aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et des Actes finals de cette Conférence (Kyoto, 1994) ou si des réserves faites par un Membre compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou conduisaient à une augmentation de la part contributive de la Syrie aux dépenses de l'Union.
33
Original: anglais.
Pour Saint-Vincent-et-Grenadines:
Le Délégation de Saint-Vincent-et-Grenadines réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il considérera nécessaires pour protéger ses intérêts, au cas où tout Membre n'observerait pas les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et la Convention (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto (1994), ou d'un instrument qui y est joint, ou encore si une réserve formulée par un autre pays compromettait le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
34
Original: anglais.
Pour la Barbade:
La Délégation de la Barbade réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il considérera nécessaires pour protéger ses intérêts, au cas où tout Membre n'observerait pas les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et la Convention (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto (1994), ou d'un instrument qui y est joint, ou encore si une réserve formulée par un autre pays compromettait le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
35
Original: français.
Pour la République du Bénin:
La Délégation de la République du Bénin à la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres n'observeraient pas les dispositions des présents Constitution et Convention de l'Union internationale des télécommunications, ou si les réserves formulées par d'autres Membres devaient compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou entraîner une augmentation de sa contribution aux dépenses de l'Union.
36
Original: anglais.
Pour le Guyana:
La Délégation du Guyana réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il considérera nécessaires pour protéger ses intérêts, au cas où tout Membre n'observerait pas les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et la Convention (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto (1994), ou d'un instrument qui y est joint, ou encore si une réserve formulée par un autre pays compromettait le bon fonctionnement de ses services de télécommunications.
37
Original: espagnol.
Pour la République de Colombie:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de la République de Colombie:
1) Réaffirme et reprend, par voie de référence expresse, les réserves et déclarations formulées lors des conférences administratives mondiales;
2) Réaffirme quant au fond la réserve n.º 48 formulée à la Conférence de plénipotentiaires additionnelle de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992).
38
Original: français.
Pour la République islamique de Mauritanie:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation mauritanienne déclare que son Gouvernement se réserve le droit:
1) De prendre toute disposition nécessaire pour préserver ses intérêts nationaux, si certains Membres ne respectaient pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) amendées par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994); ou si des réserves émises par d'autres Membres ne s'avéraient pas conformes à son souci cardinal de faire fonctionner son réseau de télécommunication de la manière la plus idoine;
2) D'accepter ou non les incidences financières qui découleront des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) ou des réserves faites par d'autres Membres.
La Délégation mauritanienne déclare également que la Constitution et la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) ainsi que tout amendement apporté par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) à ses instruments sont sujets à la ratification par les institutions nationales compétentes.
39
Original: français.
Pour le Royaume du Cambodge:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), la Délégation du Royaume du Cambodge réserve à son Gouvernement:
1) Le droit de prendre toutes les mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger les intérêts du Royaume du Cambodge:
a) Si un Membre n'observait pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et les annexes respectives, ainsi que les textes amendés et adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994);
b) Si les réserves formulées par d'autres Membres étaient susceptibles de compromettre le bon fonctionnement des services de télécommunication du Royaume du Cambodge;
2) La Délégation du Royaume du Cambodge réserve par ailleurs à son Gouvernement le droit de prendre des mesures nécessaires susceptibles de régler les arriérés dus à l'UIT depuis l'événement 1970 jusqu'à présent.
40
Original: espagnol.
Pour Cuba:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), la Délégation de Cuba déclare:
- Que devant la persistance des ingérences du Gouvernement des Etats-Unis d'Amérique, qui impose des émissions de radiodiffusion et de télévision dirigées vers le territoire cubain à des fins politiques et de déstabilisation, en violation flagrante des dispositions et principes régissant les télécommunications mondiales, qui consistent notamment à faciliter la coopération internationale et le développement économique et social entre les peuples, et au détriment du bon fonctionnement et du développement normal des services de radiocommunication cubains, l'Administration cubaine se réserve le droit de prendre toutes mesures qu'elle jugera nécessaires.
Les conséquences des mesures que l'Administration cubaine se verra obligée de prendre en raison des actes illégaux du Gouvernement des Etats-Unis d'Amérique seront de la responsabilité unique et entière de ce Gouvernement;
- Qu'elle ne reconnaît en aucune manière la notification, l'inscription et l'utilisation de fréquences par le Gouvernement des Etats-Unis d'Amérique sur la partie du territoire cubain de la province de Guantánamo, qui est occupée par la force et contre la volonté expresse du peuple et du Gouvernement cubains;
- Qu'elle n'accepte pas le Protocole facultatif concernant le règlement des différends se rapportant à la Constitution, à la Convention et aux règlements administratifs;
Qu'elle réserve à son Gouvernement le droit de prendre les mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où d'autres pays Membres ne respecteraient pas, de quelque manière que ce soit, la Constitution et la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), les règlements administratifs et amendements à la Constitution et la Convention qui figurent dans les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), ou si les réserves formulées par d'autres Membres compromettaient, d'une quelconque manière, le bon fonctionnement des services de télécommunication de Cuba ou entraînaient une augmentation de sa contribution aux dépenses de l'Union. De même, la Délégation de Cuba réserve à son Gouvernement le droit de formuler toute déclaration ou réserve additionnelle qui pourait se révéler nécessaire jusqu'au moment où il déposera son instrument de ratification de la Constitution et de la Convention, et des instruments d'amendement adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994).
41
Original: anglais.
Pour la République socialista du Viet Nam:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation du Viet Nam déclare, au nom de la République socialiste du Viet Nam, qu'elle maintient les réserves formulées à la Conférence de plénipotentiaires de Nairobi (1982) et réaffirmées aux Conférences de plénipotentiaires de Nice (1989) et de Genève (1992) de l'Union internationale des télécommunications.
42
Original: espagnol.
Pour le Mexique:
La Délégation du Mexique réaffirme et reprend, par voie de référence expresse, les réserves formulées au cours des Conférences administratives mondiales et de la Conférence de plénipotentiaires additionnelle (Genève, 1992) et réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où d'autres Membres manqueraient, de quelque façon que ce soit, de se conformer aux modifications de la Constitution et de la Convention qui ont été approuvées ou à toute autre décision adoptée par la Conférence, ou si des réserves formulées par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou entraînaient une augmentation de sa contribution aux dépenses de l'Union.
43
Original: anglais.
Pour la République de Corée:
La Délégation de la République de Corée réserve à son Gouvernament le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra estimer nécessaires pour protéger ses intérêts si certains Membres ne respectaient pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et la Convention de l'Union internationale des télécomunications (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto (1994), des annexes qui y sont jointes, ou si des réserves formulées par d'autres pays étaient de nature à compromettre ses intérêts.
44
Original: anglais.
Pour la Thaïlande:
La Délégation de la Thaïlande réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où un pays Membre ou un membre quelconque n'observerait pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (adoptés à Kyoto, 1994), ou si des réserves formulées par un pays membre ou un Membre quelconque devaient compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou conduire à une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
45
Original: français.
Pour la République du Niger:
La Délégation du Niger à la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit:
1) De prendre les mesures qu'il jugera nécessaires au cas où certains Membres manqueraient, de quelque façon que ce soit, de se conformer aux instruments de l'Union internationale des télécommunications tels qu'adoptés à Kyoto (september/octobre 1994) ou si des réserves formulées par les Membres venaient à compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication;
2) De n'accepter aucune conséquence résultant des réserves susceptibles d'entraîner une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
46
Original: espagnol.
Pour le Pérou:
La Délégation du Pérou réserve à son Gouvernement le droit:
1) De prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où d'autres Membres de l'Union n'observeraient pas, d'une façon ou d'une autre, les dispositions adoptées par la présente Conférence de plénipotentiaires, ou si les réserves formulées par ces membres causaient un préjudice ou mettaient en danger les services de télécommunication du Pérou;
2) D'accepter ou non les conséquences des réserves d'autres Etats membres qui pourraient entraîner une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union; et
3) De formuler toute autre réserve qu'il considérera nécessaire au moment de la ratification.
47
Original: français.
Pour la République du Sénégal:
En signant les Actes finals de la présente Conférence de plénipotentiaires, tenue à Kyoto du 19 septembre au 14 octobre 1994, la Délégation de la République du Sénégal déclare, au nom de son Gouvernement, qu'elle n'accepte aucune conséquence des réserves faites par d'autres Gouvernements ayant pour conséquence l'augmen-tation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
Par ailleurs, la République du Sénégal se réserve le droit de prendre toutes mesures qu'elle jugera utiles à la sauvegarde de ses intérêts au cas où certains Membres n'observeraient pas les dispositions contenues dans les instruments d'amendement à la Constitution et à la Convention (Genève, 1992) qui ont été adoptés par la Conférence ou au cas où les réserves émises par d'autres pays tendraient à compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
48
Original: français.
Pour l'Autriche, la Belgique et le Luxembourg:
1 - Les Délégations des pays susmentionnés déclarent qu'elles maintiennent les déclarations et réserves faites à la fin de la Conférence de plénipotentiaires additionnelle de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et que ces déclarations et réserves s'applient également aux instruments d'amendement à la Constitution et à la Convention adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994).
2 - Elles déclarent en outre que si des réserves ou des déclarations sont formulés par d'autres Membres de l'Union après la signature des Actes finals, elles réservent le droit à leur Gouvernement de ne pas reconnaître de telles réserves ou déclarations.
49
Original: français.
Pour la Confédération suisse et la Principauté de Liechtenstein:
1 - Les Délégations des pays susmentionnés déclarent qu'elles maintiennent les déclarations et réserves faites à la fin de la Conférence de plénipotentiaires additionnelle de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et que ces déclarations et réserves s'appliquent également aux instruments d'amendement à la Constitution et à la Convention adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994).
2 - Elles déclarent en outre que si des réserves ou des déclarations sont formulées par d'autres Membres de l'Union après la signature des Actes finals, elles réservent le droit à leur Gouvernement de ne pas reconnaître de telles réserves ou déclarations.
50
Original: français.
Pour la République du Cap-Vert:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation du Cap-Vert déclare, au nom de son Gouvernement:
a) Qu'elle n'accepte aucune conséquence des réserves faites par d'autres Gouvernements qui entraîneraient une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union;
b) Qu'elle réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra estimer nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres ne prendraient pas leur part des dépenses de l'Union ou manqueraient de quelque façon que ce soit de se conformer aux dispositions de la Constituion et de la Convencion de l'Union internationale des télécommunications telles que modifées par les Actes finals de cette Conférence, ou encore si des réserves formulées par d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication;
c) Qu'elle réserve en outre à son Gouvernement le droit de formuler des réserves spécifiques additionnelles auxdits Actes finals, ainsi qu'à tout autre instrument émanant d'autres conférences pertinentes de l'UIT pas encore ratifé, jusqu'au moment du dépôt de leur instrument de ratification respectif.
51
Original: français.
Pour la République d'Angola:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de l'Angola déclare, au nom de son Gouvernement:
a) Qu'elle n'accepte aucune conséquence des réserves faites par d'autres Gouvernements qui entraîneraient une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union;
b) Qu'elle réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra estimer nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres manquent de se conformer aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications telles que modifiées par les Actes finals de cette Conférence, ou encore si des réserves formulées par d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication;
c) Qu'elle réserve en outre à son Gouvernement le droit de formuler des réserves spécifiques additionnelles auxdits Actes finals, ainsi qu'à tout autre instrument émanant d'autres Conférences pertinentes de l'UIT pas encore ratifié, jusqu'au moment du dépôt de leur instrument de ratification respectif.
52
Original: anglais.
Pour la République de Singapour:
La Délégation de la République de Singapour réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts si des Membres de l'Union ne respectaient pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), modifiées par les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), ou les annexes ou les protocoles desdits instruments, ou si des réserves d'un Membre de l'Union compromettaient les services de télécommunication de la République de Singapour, portaient atteinte à sa souveraineté ou entraînaient une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
La Délégation de la République de Singapour réserve en outre à son Gouvernement le droit de formuler toutes les réserves supplémentaires qu'il jugera nécessaires jusques et y compris le moment où la Constitution et la Convention de l'UIT (Genève, 1992) auront été ratifiées par la République de Singapour.
53
Original: anglais.
Pour la République sudafricaine:
La Délégation de la République sudafricaine réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si certains Membres ne respectaient pas les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), de ses annexes ou des protocoles qui y sont joints et modifiées aux termes des Actes finals de la Conférence de plénipotentaires (Kyoto, 1994), ou bien si des réserves formulées par d'autres Membres ou des mesures prises par d'autres Membres étaient de nature à compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
54
Original: français.
Pour la République de Pologne:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de la République de la Pologne déclare au nom de son Gouvernement qu'elle:
1) N'accepte aucune conséquence des réserves faites par d'autres Gouvernements qui entraîneraient une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union;
2) Réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra estimer nécessaires pour protéger ses intérêts au cas ou certains Membres ne prendraient pas leur part des dépenses de l'Union ou manqueraient, de quelquer façon que ce soit, de se conformer aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications telles que modifiées par les Actes finals de cette Conférence, ou encore si des réserves formulées par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication;
3) Reserve en outre à son Gouvernement le droit de formuler des réserves spécifiques additionnelles auxdits Actes finals, ainsi qu'à tout autre instrument émanant d'autres conférences pertinentes de l'UIT pas encore ratifié, jusqu'au moment du dépôt de leur instrument de ratification respectif.
55
Original: anglais.
Pour la République tchèque:
La Délégation de la République tchèque réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si certains Membres ne prenaient pas leur part des dépenses de l'Union ou ne respectaient pas les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications, des annexes, des protocoles ou des règlements et des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) qui y sont joints.
56
Original: anglais.
Pour la République slovaque:
La Délégation de la République slovaque réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si certains Membres ne prenaient pas leur part des dépenses de l'Union ou ne respectaient pas les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications, des annexes, des protocoles ou des règlements et des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) qui y sont joints, ou si des réserves formulées par d'autres pays étaient de nature à compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
57
Original: anglais.
Pour Papouasie-Nouvelle-Guinée:
La Délégation de Papouasie-Nouvelle-Guinée réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si certains Membres ne prennent pas leur part des dépenses de l'Union ou s'ils manquent, de quelque autre manière que ce soit, aux obligations qui découlent de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) amendées par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) ou des annexes et des protocoles qui y sont joints, ou encore si des réserves formulées par d'autres pays compromettent le bon fonctionnement des services de télécommunication de Papouasie-Nouvelle-Guinée.
58
Original: français.
Pour la Principauté de Monaco:
La Délégation de la Principauté de Monaco réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures et dispositions qu'il estimera nécessaires pour sauvegarder ses intérêts nationaux si certains Membres ne prenaient pas leur part des dépenses de l'Union ou, de quelque autre manière que ce soit, ne respectaient pas les dispositions des amendements à la Constitution et à la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) adoptés par la présente Conférence (Kyoto, 1994), ou encore au cas où des réserves exprimées par d'autres pays seraient de nature à compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou à accroître sa contribution aux dépenses de l'Union.
59
Original: français.
Pour la République de Côte d'Ivoire:
La Délégation de la République de Côte d'Ivoire réserve à son Gouvernement le droit:
a) De prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si des Membres n'observaient pas de qualquer manière que ce soit les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), telles qu'amendées par la présente Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994);
b) De refuser les conséquences des réserves formulées dans les Actes finals de la présente Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) par d'autres Membres et qui pourraient entraîner une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union ou qui pourraient compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication;
c) De formuler des réserves ou de refuser toutes modifications apportées par la présente Conférence à la Constitution et à la Convention de l'Union qui pourraient compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou affecter directement ou indirectement sa souveraineté.
60
Original: anglais.
Pour la République de Bulgarie:
La Délégation de la République de Bulgarie à la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit:
1) De prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts si un Membre de l'Union manquait, de quelque manière que ce soit, de se conformer aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) modifiées par la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994) ou si les conséquences de toute réserve formulée par un autre pays compromettaient le bon fonctionnement des services de télécommunication de la Bulgarie;
2) De n'accepter aucune mesure financière pouvant entraîner une augmentation injustifiée de sa part contributive aux dépenses de l'Union;
3) De formuler toute déclaration ou réserve au moment de la ratification des amendements de la Constitution et de la Convention de l'UIT (Genève, 1992) adoptées par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994).
61
Original: anglais.
Pour le Canada:
La Délégation du Canada déclare qu'elle réserve à son Gouvernement le droit de faire des déclarations ou de formuler des réserves lorsqu'il déposera ses instruments de ratification pour les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) de l'Union internationale des télécommunications.
62
Original: anglais.
Pour la République de Fidji:
En signant le présent document qui fait partie des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) et en prenant note des dispositions du numéro 16 de l'article 32 de la Convention, le délégué de la République de Fidji réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il pourra estimer nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où un Membre manquerait en quoi que ce soit de se conformer aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) ou des annexes et des protocoles qui y sont joints, ou encore si les réserves formulées par d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou conduisaient à une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
63
Original: anglais.
Pour l'Italie:
La Délégation de l'Italie réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourrait juger nécessaires pour protéger ses intérêts si certains Membres ne prenaient pas leur part des dépenses de l'Union ou n'observaient pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), telles que modifiées par les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires, Kyoto (1994), ou des annexes ou protocoles qui y sont joints, ou si des réserves d'autres pays entraînaient une augmentation de ses parts contributives aux dépenses de l'Union ou, enfin, si des réserves d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
64
Original: anglais.
Pour la République des Philippines:
La Délégation de la République des Philippines réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires et suffisantes, conformément à sa législation nationale, pour protéger ses intérêts si des réserves formulées par des représentants d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou portaient atteinte à ses droits en tant que pays souverain.
La Délégation philippine réserve en outre à son Gouvernement le droit de formuler toutes déclarations ou réserves avant le dépôt de l'instrument de ratification de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et de ses amendements approuvés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994).
65
Original: anglais.
Pour le Royaume d'Arabie saoudite, l'Etat de Bahreïn, les Emirats arabes unis, l'Etat du Koweït, le Sultanat d'Oman et l'Etat du Qatar:
Les Délégations des pays ci-dessus mentionnés à la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) déclarent que leurs Gouvernements se réservent le droit de prendre toutes mesures qu'ils pourront juger nécessaires pour sauvegarder leurs intérêts si certains Membres ne prenaient pas leur part aux dépenses de l'Union, ou s'ils manquaient de quelque façon que ce soit de se conformer aux dispositions des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) ou des résolutions qui y sont joints ou encore si les réserves faites par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de leurs services de télécommunication.
66
Original: anglais.
Pour la République de Hongrie:
La Délégation de la République de Hongrie réserve à son Gouvernement le droit de n'accepter aucune mesure financière susceptible d'entraîner des augmentations non justifiées de sa contribution aux dépenses de l'Union et de prendre toutes mesures qu'il peut estimer opportunes afin de protéger ses intérêts au cas où des pays Membres n'observeraient pas les dispositions de la Constitution et de la Convention, ou compromettraient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication, et le droit de formuler des réserves et des déclarations spécifiques avant la ratification des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994).
67
Original: français.
Pour la République démocratique populaire Lao:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de la République démocratique populaire Lao réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si certains membres de l'Union n'observent pas les dispositions de ces Actes finals, de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications, de leurs annexes ou protocoles qui y sont joints, ou si les réserves faites par d'autres pays compromettent le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
68
Original: anglais.
Pour le Danemark, la République d'Estoine, la Finlande, l'Islande, la République de Lettonie, la Norvège et la Suède:
Au moment de signer les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto, les Délégations des pays ci-dessus déclarent formellement maintenir les déclarations et les réserves (numéro 46) que leurs pays ont formulées lors de la signature des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires additionnelle de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992).
69
Original: anglais.
Pour le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord:
La Délégation du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra estimer nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où d'autres Membres n'observeraient pas, de quelque manière que ce soit, la Constitution et la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), telles qu'elles ont été amendées par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) ou les annexes jointes à ces instruments, ou bien au cas où des réserves formulées par d'autres pays iraient à l'encontre de ses intérêts.
70
Original: russe.
Pour la République du Bélarus, la Fédération de Russie, l'Ukraine et la Mongolie:
Les Délégations des pays ci-dessus réservent à leurs Gouvernements respectifs le droit de faire toute déclaration ou réserve au moment de la ratification des instruments d'amendement (Kyoto, 1994), de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et de prendre toutes mesures qu'ils jugeront nécessaires pour protéger leurs intérêts si un Membre quelconque de l'Union n'observait pas, de quelque manière que ce soit, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications, ou si les réserves formulées par d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de leurs services de télécommunication ou entraînaient une augmentation de leur contribution annuelle aux dépenses de l'Union.
71
Original: anglais.
Pour la Turquie:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), la Délégation de la République de Turquie réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où un Membre manquerait, de quelque façon que ce soit, de se conformer aux dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et de la Convention (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto, de leurs annexes ou des protocoles qui y sont joints, ou si des réserves formulées par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou entraînaient une augmentation de sa contribution aux dépenses de l'Union.
72
Original: anglais.
Pour la République du Kenya:
I
La Délégation de la République du Kenya réserve à son Gouvernement le droit de prendre toute mesure qu'il pourrait juger nécessaire et/ou appropriée pour sauvegarder et protéger ses intérêts au cas où un Membre manquerait en quoi que ce soit de se conformer aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et de tout amendement apporté auxdits instruments par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), et/ou de tout autre instrument connexe. En outre, la Délégation affirme que le Gouvernement de la République du Kenya n'accepte aucune responsabilité pour les conséquences découlant de toute réserve faite par d'autres Membres de l'Union.
II
La Délégation de la République du Kenya, rappelant la réserve numéro 90 à la Convention de Nairobi (1982), réaffirme, au nom de son Gouvernement, la lettre et l'esprit de ladite réserve.
73
Original: français.
Pour la Grèce:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de la Grèce déclare:
1) Qu'elle réserve à son Gouvernement le droit:
a) De prendre toutes mesures conformes à son droit interne et au droit international qu'il pourra juger ou estimer nécessaires ou utiles pour protéger et sauvegarder ses droits souverains et inaliénables et ses intérêts légitimes aux cas où soit des Etats Membres de l'UIT manqueraient de quelque manière que ce soit de respecter ou d'appliquer, d'une part, les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et des leurs annexes et protocoles, telles que modifiées par les Actes finals de cette Conférence (Kyoto, 1994), et, d'autre part, règlements administratifs les complétant, soit des actes d'autres entités ou parties tierces pourraient affecter ou porter atteinte à sa souveraineté nationale;
b) De formuler, en vertu de la Convention de Vienne sur le Droit des traités de 1969, des réserves auxdits Actes finals à tout moment qu'il jugera opportun entre la date de leur signature et la date de leur ratification, ainsi qu'à tout autre instrument émanant d'autres conférences pertinentes de l'UIT pas encore ratifié, ainsi que de n'être pas lié par toute disposition desdits instruments limitant son droit souverain de formuler des réserves;
c) De n'accepter aucune conséquence de toutes réserves formulées par d'autres parties contractantes qui, entre autres choses, pourraient entraîner une augmentation de sa propre quote-part contributive aux dépenses de l'Union ou autres incidences financières ou, encore, si lesdites réserves devaient compromettre le bon et efficace fonctionnement des services de télécommunication de la République de Grèce;
2) Qu'il est parfaitement établi que le terme «pays» utilisé dans les dispositions des présents Actes finals, ainsi que de tout autre instrument ou acte de l'Union internationale des télécommunications au sujet de ses Membres et de leurs droits et obligations, est considéré à tous égards comme synonyme du terme «Etat souverain» constitué légalement et reconnu internationalement.
74
Original: anglais.
Pour la République fédérale d'Allemagne:
1 - La Délégation de la République fédérale d'Allemagne réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estimera nécessaires pour protéger ses intérêts si certains Membres ne prenaient pas leur part des dépenses de l'Union ou, de quelque autre manière que ce soit, ne respectaient pas les dispositions des instruments d'amendement (Kyoto, 1994) de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), ou si des réserves formulées par d'autres pays étaient de nature à accroître sa contribution aux dépenses de l'Union ou à compromettre le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
2 - La Délégation de la République fédérale d'Allemagne déclare, à propos de l'article 4 de la Constitution de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), qu'elle maintient les réserves formulées au nom de la République fédérale d'Allemagne lors de la signature des règlements visés à l'article 4.
75
Original: français.
Pour la Tunisie:
La Délégation tunisienne à la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit:
1) De prendre toutes les mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts si un Membre quelconque ne prenait pas sa part des dépenses de l'Union ou n'observait pas de quelque manière que ce soit les dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto, ou des annexes, protocoles ou résolutions qui y sont joints ou si des réserves formulées par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de ses services des télécommunications;
2) De faire toute déclaration ou réserve jusqu'au moment de la ratification de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto.
76
Original: anglais.
Pour la République de Namibie:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), sous réserve de leur ratification officielle, la Délégation de la Namibie réserve à son Gouvernement le droit de prendre toute mesure qu'il pourra juger nécessaire pour protéger ses intérêts au cas où tout autre Membre ne réglerait pas sa part contributive aux dépenses de l'Union ou manquerait de toute autre manière que ce soit de se conformer aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications, de leurs annexes ou des protocoles qui y sont joints, ou si des réserves formulées par d'autres membres devaient compromettre le fonctionnement de ses services de télécommunication ou entraîner une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
77
(Ce numéro n'a pas été utilisé.)
78
Original: anglais.
Pour la République de l'Inde:
1 - En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation de la République de l'Inde n'accepte pour son Gouvernement aucune conséquence financière résultant de réserves qui pourraient être formulées par un Membre au sujet des finances de l'Union.
2 - Par ailleurs, la Délégation de la République de l'Inde réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour sauvegarder et protéger ses intérêts au cas où un Membre n'observerait pas, de quelque façon que ce soit, une ou plusieurs des dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) ou les amendements par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) ou des réglements administratifs.
79
Original: anglais.
Pour la Nouvelle-Zélande:
Au moment de signer les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) de l'Union internationale des télécommunications, la Délégation du Gouvernement de la Nouvelle-Zélande réitère la déclaration et la réserve (nº 29) qu'elle a formulées lors de la signature des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Genève, 1992) concernant les amendements apportés à la Constitution et la Convention aux termes des instruments de Kyoto.
80
Original: français.
Pour la République algérienne démocratique et populaire, le Royaume d'Arabie saoudite, le Commonwealth des Bahamas, l'Etat de Bahreïn, la Barbade, la République du Cameroun, la République de Côte d'Ivoire, les Emirats arabes unis, le Guyana, la République de l'Inde, la République islamique d'Iran, le Royaume hachémite de Jordanie, la République du Kenya, l'Etat du Koweït, le Liban, le Royaume du Maroc, le Sultanat d'Oman, la République islamique du Pakistan, la Papouasie-NouvelleGuinée, l'Etat du Qatar, la République arabe syrienne, Saint-Vincent-et-Grenadines, la République du Sénégal, la Thaïlande, la République du Zimbabwe:
Ces Délégations considèrent que les réglements administratifs auxquels il est fait mention dans le numéro 31 de la Constitution sont le Réglement des radiocommunications et le Réglement des télécommunications internationales tels que modifiés par les conférences compétentes réunies après la Conférence de plénipotentiaires additionnelle de Genève, 1992. Des propositions ont été faites à cette Conférence pour affirmer le caractère obligatoire des règlements administratifs révisés et ces propositions n'ont pas été retenues au niveau de la Commission compétente uniquement pour minimiser le nombre de modifications que cette Conférence pourrait apporter à la Constitution. Au cours de la discussion de ces propositions, le caractère «traité international» liant tous les Membres qui ont signé leurs révisions successives n'a pas été remis en question.
Il est également admis que toute réserve de la part d'un Membre, statuant que ce Membre n'appliquera pas tout ou partie de la révision d'un règlement, ainsi que toute déclaration dans le même sens pendant la période qui suit la conférence compétente ayant révisé un règlement, ne sont pas conformes aux dispositions de la Convention de Vienne sur les traités qui stipule, dans son article 27, «une partie ne peut invoquer les dispositions de son droit interne comme justifiant la non-exécution d'un traité».
La Conférence a reconnu qu'il existe un vide juridique quant aux Membres qui auraient déclaré, pendant la période qui suit la Conférence compétente ayant révisé un règlement, qu'ils n'acceptent pas d'être liés par les révisions des règlements administratifs.
Tenant compte de ce qui précède et considérant que la Conférence mondiale des radiocommunications qui va se tenir en 1995 va réviser l'ensemble du Réglement des radiocommunications, les signataires réitèrent leur droit souverain, qui est celui de l'ensemble des Membres de l'UIT, sur les ressources communes que sont le spectre des fréquences radioélectriques et l'orbite des satellites géostationnaires. Leur participation à la Conférence mondiale des radiocommunications de 1995 et leur acceptation de ses décisions seront basées sur le principle que le Règlement international tel que révisé par la dite Conférence est un traité qui lie tous les Membres que l'auront signé, conformément aux numéros 30 et 31 de la Constitution.
81
Original: français.
Pour le Portugal:
En signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), la Délégation du Portugal déclare au nom de son Gouvernment:
a) Qu'elle n'accepte aucune conséquence des réserves faites par d'autres Gouvernements qui entraîneraient une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union;
b) Qu'elle réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra estimer nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres ne prendraient pas leur part des dépenses de l'Union ou manqueraient de quelque façon que ce soit de se conformer aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications telles que modifiées par les Actes finals de cette Conférence, ou encore si des réserves formulées par d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication;
c) Qu'elle réserve en outre à son Gouvernement le droit de formuler des réserves spécifiques additionnelles auxdits Actes finals, ainsi qu'a tout autre instrument émanant d'autres conférences pertinentes de l'UIT pas encore ratifié, jusqu'au moment du dépôt de leur instrument de ratification respectif.
82
Original: anglais.
Pour le Japon:
La Délégation du Japon réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour sauvegarder ses intérêts au cas où certains Membres ne prendraient pas leur part des dépenses de l'Union ou si un Membre venait à ne pas se conformer aux amendements de la Constitution ou de la Convention de l'Union internationale des télécommunications adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), ou bien si les réserves formulées par d'autre pays devaient compromettre ses intérêts.
83
Original: anglais.
Pour la Republique fédérale du Nigéria:
La Délégation de la République fédérale du Nigéria à la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) déclare que son Gouvernement se réserve le droit:
1) De prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres de l'Union ne prendraient pas leur part des dépenses de l'Union ou manqueraient de quelque autre façon de se conformer aux dispositions des instruments d'amendement de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), ou des annexes ou protocoles qui y sont attachés, ou encore si des réserves formulées par d'autres pays compromettaient de quelque manière que ce soit le bon fonctionnement des services de télécommunication de la République fédérale du Nigéria;
2) De faire toute déclaration ou réserve jusqu'au moment de la ratification de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994).
84
Original: anglais.
Pour les Etats-Unis d'Amérique:
Les Etats-Unis d'Amérique se réfèrent aux numéros 445 et 446 de la Convention (Genève, 1992) et relèvent que, lors de l'examen des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), ils seront peut-être amenés à formuler des réserves ou des déclarations additionnelles. En conséquence, les Etats-Unis d'Amérique se réservent le droit de faire des déclarations ou des réserves spécifiques additionnelles au moment du dépôt de leur instrument de ratification des amendements à la Constitution et à la Convention (Genève, 1992).
Les Etats-Unis d'Amérique réitèrent et reprennent implicitement toutes les réserves et déclarations formulées lors de conférences administratives mondiales ou de conférences mondiales des radiocommunications avant la signature des présents Actes finals.
Les Etats-Unis d'Amérique ne sauraient consentir, par la signature ou par toute ratification ultérieure des amendements à la Constitution et à la Convention adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), à être liés par les règlements administratifs adoptés avant la date de signature des présents Actes finals. Les Etats-Unis d'Amérique ne sauraient être considérés comme ayant consenti à être liés par les révisions des règlements administratifs, partielles ou totales, adoptées après la date de signature des présents Actes finals, s'ils n'ont pas expressément notifié à l'Union internationale des télécommunications leur consentement à être liés.
85
Original: français.
Pour la France:
La Délégation française réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il pourra estimer nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres ne prendraient pas leur part aux dépenses de l'Union ou manqueraient de quelque façon de se conformer aux dispositions des amendements à la Constitution et à la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) adoptés par la présente Conférence (Kyoto, 1994), ou encore si des réserves formulées par d'autre pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication ou entraînaient une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
86
Original: français.
Pour la République de Chypre:
La Délégation de la République de Chypre réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres de l'Union ne prendraient pas leur part aux dépenses de l'Union ou manqueraient de quelque façon que ce soit de se conformer aux dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), et/ou de ses annexes et des protocoles qui y sont joints et amendés par l'Instrument de Kyoto 1994, ou encore si des réserves formulées par d'autre Membres entraînaient une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union ou compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication, ou si d'autres mesures que prendrait ou envisagerait de prendre une personne physique ou morale portaient directement ou indirectement atteint à sa souveraineté.
La Délégation de la République de Chypre réserve en outre à son Gouvernement le droit de faire tout autre déclaration ou réserve jusqu'au moment où l'instrument d'amendement (Kyoto, 1994) de la Constitution et la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), sera ratifié par la République de Chypre.
87
Original: anglais.
Pour le Royaume des Pays-Bas:
I
La Délégation des Pays-Bas réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour sauvegarder ses intérêts si certains Membres ne participaient pas aux dépenses de l'Union ou n'observaient pas de toute autre manière les dispositions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) modifiées par les Instruments de Kyoto (1994) ou de leurs annexes, ou des protocoles facultatifs qui y sont joints, ou bien si des réserves formulées par d'autres pays risquaient d'entraîner une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union ou, enfin, si des réserves formulées par d'autres pays compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
II
La Délégation des Pays-Bas déclare formellement en ce qui concerne l'article 54 de la Constitution de l'Union internationale des télécommunications (Genéve, 1992) modifié par l'Instrument de Kyoto (1994) qu'elle maintient les réserves faites au nom de son Gouvernement lors de la signature des règlements administratifs mentionnés dans l'article 4.
88
Original: anglais.
Pour la République arabe de l'Egypte:
La Délégation de la République arabe d'Egypte réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il estime nécessaires pour protéger ses intérêts si un Membre actuel ou futur de l'Union n'observe pas les conditions de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992), ou des annexes ou protocoles qui y sont joints, tels qu'ils ont été amendés aux termes des instruments de Kyoto (1994) ou si des réserves faites par d'autres Membres compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
89
Original: anglais.
Pour l'Irlande:
Ayant pris note des déclarations et des réserves déposées par certains Membres, le Gouvernment de l'Irlande réitère les réserves qu'il avait formulées lors de la signature des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires additionnelle (Genève, 1992) et se réserve en outre le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts si un Membre venait à ne pas remplir les obligations auxquelles il est tenu par la Constitution et la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) amendées par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) ou des annexes qui y sont jointes.
90
Original: anglais.
Pour l'Etat d'Israël:
1 - La déclaration faite par certaines Délégations dans le nº 26 des Actes finals étant en contradiction flagrante avec les principes et l'objet de l'Union internationale des télécommunications est, par conséquent, juridiquement nulle.
Le Gouvernement d'Israël tient à bien marquer qu'il rejette catégoriquement ces déclarations qui politisent et sapent le travail de l'UIT. La Délégation d'Israël considérera qu'elles n'ont aucun effet que ce soit sur les droits et les devoirs d'un Etat Membre de l'Union internationale des télécommunications.
De plus, compte tenu de ce que Israël et de nombreux Etats arabes mènent actuellement des négociations en vue d'arriver à une solution du conflit israëlo-arabe, la Délégation d'Israël estime que la déclaration des pays arabes va à l'encontre du but recherché et est dommageable pour la cause de la paix au Moyen-Orient. Par ailleurs, cette déclaration est en contradiction avec l'esprit de la Résolution n.º 32 adoptée à l'unanimité, le 13 octobre 1994, par la Conférence de plénipotentiaires de Kyoto.
La Délégation d'Israël, pour ce qui concerne le fond de la question, adoptera une atitude de totale réciprocité à l'égard des Membres dont les Délégations ont formulé ladite déclaration.
La Délégation d'Israël note également que la Déclaration n.º 26, contraire aux procédures de l'UIT, ne désigne pas l'Etat d'Israël par son nom complet. Dans ces conditions, elle introduit dans le travail professionnel de la Conférence des éléments inadmissibles de discorde et d'inimitié et doit être rejetée en tant que violation des règles et normes reconnues du comportement international.
2 - De plus, après avoir pris note de diverses autres déclarations qui ont déjà été déposées, la Délégation d'Israël réserve à son Gouvernment le droit de prendre toutes mesures qu'il jugera nécessaires pour sauvegarder ses intérêts et protéger l'exploitation de ses services de télécommunication au cas où le bon fonctionnement de ses services serait compromis par les décisions de la présente Conférence ou par les réserves formulées par d'autres Délégations.
91
Original: anglais.
Pour le Bangladesh:
Après avoir examiné les déclarations contenues dans le Document nº 299, la Délégation du Bangladesh réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes les mesures qu'il estimera nécessaires pour sauvegarder ses intérêts au cas où un Membre ou membre ne respecterait pas, d'une façon ou d'une autre, les dispositions des instruments d'amendement à la Constitution et à la Convention de l'Union internationale des télécommunications, tels qu'ils ont été adoptés à Kyoto (UIT-PP 94, Kyoto) ou si des réserves formulées par un Membre ou membre devaient compromettre le fonctionement technique et/ou l'exploitation commerciale de ses services de télécommunication ou entraîner une augmentation de sa part contributive aux dépenses de l'Union.
92
Original: anglais.
Pour la République féderale d'Allemagne, l'Australie, l'Autriche, la Belgique, le Canada, la République de Chypre, le Danemark, la République d'Estonie, les Etats-Unis d'Amérique, la Finlande, la France, la Grèce, la République de Hongrie, l'Irlande, l'Etat d'Israël, l'Italie, le Japon, la République de Lettonie, la Principauté de Liechtenstein, le Luxembourg, Malte, la Principauté de Monaco, la Norvège, la Nouvelle-Zélande, le Royaume des Pays-Bas, la République de Pologne, le Portugal, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, la Suède, la Suisse et la Turquie:
Les Délégations des pays ci-dessus, se référant aux déclarations faites par la Colombie (nº 37) et par la République du Kenya (nº 72), estiment, pour autant que ces déclarations et autres documents analogues se réferent à la Déclaration de Bogota signée le 3 décembre 1976 par les pays équatoriaux et à la revendication de ces pays d'exercer des droits souverains sur des parties de l'orbite des satellites géostationnaires, ainsi qu'a toute déclaration similaire, que cette revendication ne peut être admise par la présente Conférence.
En outre, les Délégations des pays ci-dessus souhaitent confirmer ou renouveler la Déclaration (nº 73) faite par un certain nombre de Délégations à la Conférence de plénipotentiaires additionnelle (Genève, 1992) aux déclarations formulées aux conférences qui y sont mentionnées, comme si ces déclarations étaient reproduites ici in extenso.
Les Délégations mentionnées ci-dessus souhaitent également affirmer que la référence à la «situation géographique de certains pays» dans l'article 44 de la Constitution ne signifie pas que l'on admette la revendication de droits préférentiels quelconques sur l'orbite des satellites géostationnaires.
93
Original: anglais.
Pour la République fédérale d'Allemagne, la Finlande, la France, l'Islande, l'Italie, la République de Lettonie, la Principauté de Monaco, le Royaume des Pays-Bas, la Roumanie, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et la Turquie:
En ce qui concerne les déclarations de plusieurs Délégations visant à formuler des réserves ou des déclarations au sujet des Actes finals de la présente Conférence au moment du dépôt de leurs instruments de ratification u avant cette date, les Délégations susmentionnées réservent à leur Gouvernment le droit de ne pas prendre en considération les réserves et les déclarations formulées par d'autre Membres de l'Union après la signature des Actes finals de la présente Conférence.
94
Original: anglais.
Pour la République fédérale d'Allemagne, la Belgique, la République de Chypre, le Danemark, la République d'Estonie, la Finlande, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Islande, l'Italie, la République de Lettonie, la Principauté de Liechtenstein, le Luxembourg, la Principauté de Monaco, la Norvège, de Royaume des Pays-Bas, la République de Pologne, la Roumanie, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, la Suède, la Confédération suisse et la Turquie:
Les Délégations susmentionnées, se référant à la Déclaration nº 80 faite par la République algérienne démocratique et populaire, le Commonwealth des Bahamas, l'Etat de Bahreïn, la Barbade, la République du Cameroun, la République de Côte d'Ivoire, le Guyana, la République de l'Inde, la République islamique d'Iran, le Royaume hachémite de Jordanie, la République du Kenya, l'Etat du Koweït, le Liban, le Royaume du Maroc, le Sutanat d'Oman, la République islamique du Pakistan, la Papouasie-NouvelleGuinée, l'Etat du Qatar, Saint-Vincent-et-Grenadines, le Royaume d'Arabie saoudite, la République du Sénégal, la République arabe syrienne, la Thaïlande, les Emirats arabes unis et la République du Zimbabwe, notent que cette Déclaration n'a pas été formulée au moment de la signature de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et qu'elle n'a pas d'incidences sur l'application de l'article 54 de la Constitution aux délégations qui ont fait la présente déclaration.
95
Original: anglais.
Pour l'Australie:
Aprés avoir examiné les déclarations et les réserves contenues dans le Document nº 299 de la Conférence, la Délégation de l'Australie déclare qu'elle réserve à son Gouvernement le droit de formuler des déclarations ou des réserves lors du dépôt de ses instruments de ratification por les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994).
96
Original: anglais.
Pour la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste:
La Délégation de la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste à la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires à la sauvegarde de ses intérêts et de ses services de télécommunication au cas où un Membre manquerait de se conformer aux dispositions des Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) et réserve également à son Gouvernement le droit de faire toute réserve qu'il pourra juger nécessaire avant la ratification desdits Actes finals au cas où une disposition serait contraire à la Constitution de la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste.
97
Original: anglais.
Pour les Etats-Unis d'Amérique:
Se référant à la Déclaration nº 80, formulée par de nombreuses Délégations, les Etats-Unis d'Amérique expriment leur désaccord sur divers points de ladite Déclaration et font remarquer que ladite Déclaration, qui est de caractère anticipatif, n'as pas été formulée lors de la signature de la Constitution et de la Convention de l'Union internationale des télécommunications (Genève, 1992) et qu'elle ne modifie en rien l'application aux Etats-Unis d'Amérique des dispositions de l'article 54 de la Constitution (Genève, 1992).
98
Original: anglais.
Pour les Etats-Unis d'Amérique:
Les Etats-Unis d'Amérique, prenant note de la Déclaration nº 40 de la Délégation de Cuba, reppellent qu'ils disposent du droit d'émettre vers Cuba sur les fréquences appropriées, sans brouillages intentionneles ou autres brouillages préjudiciables, et réservent leurs droits à l'égard des brouillages existants et de tout brouillage futur causé par Cuba aux émmissions des Etats-Unis. En outre, les Etats-Unis d'Amérique appellent l'attention sur le fait que leur présence à Guantanamo relève d'un accord international actuellement en vigueur. Les Etats-Unis d'Amérique se réservent le droit de continuer à répondre à leurs besoins en matière de radiocommunications dans cette province comme ils l'ont fait jusqu'à présent.
99
Original: anglais.
Pour le Royaume des Tonga:
En ce qui concerne les déclarations et réserves figurant dans le Document nº 299 en date du 13 octobre 1994, la Délégation du Royaume des Tonga réserve à son Gouvernment le droit de prendre toutes les mesures u'il jugera nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où un Membre manquerait de se conformer aux dispositions contenues dans les instruments d'amendement à la Constitution et à la Convention (Genève, 1992) adoptés par la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994) ou encore si les réserves formulées par d'autres administrations compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
100
Original: anglais.
Pour l'ex-République jougoslave de Macédoine:
Après avoir examiné les déclarations et les réserves consignés dans le Document nº 299 de la Conférence de plénipotentiaires (Kyoto, 1994), la Délégation de la République de Macédoine réserve à son Gouvernement le droit de prendre toutes mesures qu'il pourra juger nécessaires pour protéger ses intérêts au cas où certains Membres, actuels ou à venir, ne prendraient pas leur part de dépenses de l'Union ou n'observeraient pas de tout autre façon les dispositions de l'instrument amendant la Constitution et la Convention de l'UIT (Genève, 1992) ou si des réserves d'autres pays entraînaient une augmentation de sa part de dépenses de l'Union ou compromettaient le bon fonctionnement de ses services de télécommunication.
101
Original: anglais.
Pour la République du Ghana:
Après avoir examiné les déclarations contenues dans le Document n.º 299 de la Conférence, la Délégation du Ghana, en signant les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994), réserve pour le Gouvernement de la République du Ghana le droit de prendre toutes les mesures qu'elle estimera nécessaires pour protéger ses intérêts.
La Délégation du Ghana réserve en outre à son Gouvernement le droit de formuler des déclarations et des réserves lors du dépôt de ses instruments de ratification pour les Actes finals de la Conférence de plénipotentiaires de l'Union internationale des télécommunications (Kyoto, 1994).
(nota *) Note du Secrétariat général. - Les textes des déclarations et réserves sont rangés dans l'ordre chronologique de leur dépôt.
Pour la République algérienne démocratique et populaire:
Ali Hamza.
Pour la République fédérale d'Allemagne:
Ulrich Mohr.
Eberhard George.
Pour la Principauté d'Andorre:
Ricard Rodrigo Monsonis.
Pour la République d'Angola:
Virgílio Marques de Faria.
Pour le Royaume d'Arabie saoudite:
Sami S. Al-Basheer.
Pour la République argentine:
Oscar Martín González.
Eduardo Angel Katsuda.
Guillermo E. Nazar.
Pour l'Australie:
W. J. Henderson.
C. L. Oliver.
Pour l'Autriche:
Alfred Stratil.
Walter Kudrna.
Josef Bayer.
Pour le Commonwealth des Bahamas:
Barrett A. Russel.
Leander A. Bethel.
John A. M. Halkitis.
Pour l'Etat de Bahreïn:
Abdul Shaheed Al-Sateeh.
Pour la République populaire du Bangladesh:
Fazlur Rahman.
Mazhar-Ul-Hannan.
Pour la Barbade:
Jacqueline Wiltshire-Forde.
Pour la République du Bélarus:
Valashchuk Vasil.
Pour la Belgique:
Eric Van Heesvelde.
Pour la République du Bénin:
Seidou Amadou.
Bachabi Flavien.
Vignon Honore.
Pour le Royaume du Bhoutan:
Tshering Dorji.
Pour la République de Bolivie:
Raúl J. Campero Paz.
Pour la République de Bosnie-Herzégovine:
Osman Music.
Pour la République du Botswana:
Armando V. Lionjanga.
Olebile Gaborone.
Pour la République fédérative du Brésil:
Jorge de Moraes Jardim Filho.
Lourenço Nassib Chehab.
Pour Brunéi Darussalam:
HJ. Marsad Bin HJ. Ismail.
PG. HJ. Mohd Zain PG. HJ. Abd Razak.
Pour la République de Bulgarie:
K. Mirski.
N. Dicov.
Pour le Burkina Faso:
Zouli Bonkoungou.
Brahima Sanou.
Pour la République du Burundi:
Ngendabanka Ferdinand.
Niyokindi Fiacre.
Pour le Royaume du Cambodge:
So Khun.
Pour la République du Cameroun:
Dakole Daissala.
Bisseck Herve Guillaume.
Angoula Dieudonne.
Tallah William.
Maga Richard.
Wanmi François.
Kamdem-Kamga Emmanuel.
Djouaka Henri.
Pour le Canada:
Pierre Gagne.
Pour la République du Cap-Vert:
Antonio Pedro de Sousa Lobo.
Pour la République centrafricaine:
Joseph-Vermond Tchendo.
Joseph Boykota Zouketia.
Philippe Manga-Mabada.
Pour le Chili:
Maria Eliana Cuevas.
Pour la République populaire de Chine:
Wu Jichuan.
Zhao Xintong.
Pour la République de Chypre:
Lazaros S. Savvides.
Pour l'Etat de la Cité du Vatican:
Pier Vincenzo Giudici.
Pour la République de Colombie:
Hector Arenas Neira.
Pour la République fédéral islamique des Comores:
Ahmed Yahaya.
Pour la République de Corée:
Dong-Yoon Yoon.
Sung-Deuk Park.
Jong-Soon Lee.
Sung-Hae Lee.
Young-Kil Suh.
Chang-Hwan Park.
Myung-Sun Choi.
Pour Costa Rica:
Oscar E. Rodriguez.
Pour la République de Côte d'Ivoire:
Akossi Akossi.
Yao Kouakou Jean-Baptiste.
Pour la République de Croatie:
Dominik Filipovic.
Pour Cuba:
Fernandez Mac-Beath Hugo.
Rodriguez Acosta Francisco.
Pour le Danemark:
Erik Mollmann.
Mette J. Konner.
Hans Eriksen.
Pour la République de Djibouti:
Abdourazak Ali Abaneh.
Pour la République arabe d'Egypte:
Mahmoud El-Nemr.
Pour la République d'El Salvador:
Jefrey H. Smulyan.
Pour les Emirats arabes unis:
Abdulla Al Mehrezi.
Pour l'Equateur:
Adolfo Loza Argüello.
Pour l'Espagne:
Javier Nadal Ariño.
Pour la République d'Estonie:
Juri Joema.
Pour les Etats-Unis d'Amérique:
Jeffrey H. Smulyan.
Pour l'Ethiopie:
Fikru Asfaw.
Gelaneh Taye.
Pour la République de Fidji:
Turaganivalu Josua.
Vada Marika.
Pour la Finlande:
Reijo Svensson.
Pour la France:
Jean Bressot.
Dominique Garnier.
Lucien Bourgeat.
Pour la République gabonaise:
Jocktane Christian Daniel.
Massima Landji Jean Jacques.
Essonghe Ewamdongo Serge.
Ogandaga Jean.
Pour la République de Gambie:
Bakary K. Njie.
Momodou Mamour Jagne.
Pour la République de Géorgie:
K. Mirski.
Pour le Ghana:
Dzang C. K.
Pour la Grèce:
Vassilios Costis.
Anastase Nodaros.
Pour la République de Guinée:
Mamadou Malal Diallo.
Souare Souleymane.
Sow Mamadou Dioulde.
Barry Mamadou Pathe.
Pour la Guyana:
Roderick Sanatan.
Pour la République de Hongrie:
Kálmán Kovács.
Pour la République de l'Inde:
M. G. Kulkarni.
A. M. Joshi.
R. J. S. Kushvaha.
Pour la République d'Indonésie:
Jonathan L. Parapak.
Djakaria Purawidjaja.
Pour la République islamique d'Iran:
Hossein Mahyar.
Pour l'Irlande:
S. Fitzgerald.
S. MacMahon.
Pour l'Islande:
Thorbardur Jonsson.
Pour l'État d'Israël:
R. H. Menachem Oholy.
Pour l'Italie:
Antonello Pietromarchi.
Pour la Jamaïque:
Roy R. Humes.
Pour le Japon:
Yohei Kono.
Pour le Royaume hachémite de Jordanie:
Humoud Jabali.
Pour la République du Kazakhstan:
Aligoujinov Serik.
Pour la République du Kenya:
Dalmas Otieno Anyango.
Samson K. Chemai.
Muriuki Mureithi.
Alice Koech.
Daniel K. Githua.
Reuben M. J. Shingirah.
Samwel Ouma Otieno.
Wilson Ndungu Wainaina.
Pour l'Etat du Koweït:
Adel Al-Ibrahim.
Sami Khaled Al-Amer.
Mustafa H. Hashem.
Abdul-Rahman A. Al-Shatti.
Abdulwahab A. H. Al-Saneen.
Abdulkarim H. Saleem.
Yacoub Al-Sabti.
Hameed Al-Qattan.
Sameera Mohamd.
Pour la République démocratique populaire Lao:
Khamsing Sayakone.
Pour le Royaume du Lesotho:
Sello Molupe.
Pour la République de Lettonie:
Guntis Berzins.
Janis Lelis.
Pour l'ex-République yougoslave de Macédoine:
Maksim Angelevski.
Pour le Liban:
Samir Chamma.
Maurice Ghazal.
Pour la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste:
Hoda Bukhari.
Gherwi Ali Mohamed.
Zakaria El-Hammali.
Amer Salem Oun.
El-Mahjoub Ammar.
Pour la Principauté de Liechtenstein:
Frederic Riehl.
Pour le Luxembourg:
Paul Schuh.
Charles Dondelinger.
Pour la République de Madagascar:
Andriamanjato Ny Hasina.
Pour la Malaisie:
Hod Parman.
Zakaria Che Noor.
Pour le Malawi:
Steven Jiles Foster Smith Muiga.
Manson Mike Makawa.
Ewen Sangster Hiwa.
Pour la République des Maldives:
Hussain Shareef.
Pour la République du Mali:
Idrissa Samake.
Pour Malte:
Joseph Bartolo.
George J. Spiteri.
Ronald Azzopardi Caffari.
Pour le Royaume du Maroc:
Wakrim Mohamed.
Pour la République de Maurice:
Ramesh C. Gopee.
Pour la République islamique de Mauritanie:
Sidi Ould Mohamed Lemine.
Pour le Mexique:
Luis Manuel Brown Hernandez.
Pour la République de Moldova:
Ion Casian.
Ion Coshuleanu.
Pour la Principauté de Monaco:
E. Franzi.
Pour la Mongolie:
Tserendash Damiran.
Pour la République du Mozambique:
Rui Jorge Gomes Lousa.
Rui Jorge Lourenço Fernandes.
João Jorge.
Pour la République de Namibie:
Marco Mukoso Hausiku.
Sacy Amunyela.
Pour le Népal:
Purushottam Lal Shrestha.
Pour la République du Niger:
Maliki Amadou.
Tinni Ate.
Sadou Moussa.
Pour la République fédérale du Nigéria:
Titilola Adewale Odegbile.
E. B. Ojeba.
Pour la Norvège:
Jens C. Koch.
Pour la Nouvelle-Zélande:
Ian R. Hutchings.
Mark E. Holman.
Alan C. J. Hamilton.
Pour le Sultanat d'Oman:
Noor Bin Mohamed Abdul Rehman.
Pour la République de l'Ouganda:
Francis Patrick Masambu.
Wilson Otonyo Wanyama.
Pour la République d'Ouzbékistan:
Rakhimov K. R.
Pour la République islamique du Pakistan:
Nazir Ahmed.
Pour la Papouasie-Nouvelle-Guinée:
Aiwa Olmi.
David Kariko.
Robert Tovi.
Annesley de Soyza.
Pour la République du Paraguay:
Federico M. Mandelburger.
Pour le Royaume des Pays-Bas:
A. de Ruiter.
Pour le Pérou:
Chian Chong Carlos.
Pour la République des Philippines:
Josefina T. Lichauco.
Kathleen G. Heceta.
Pour la République de Pologne:
Wojciech Marian Halka.
Pour le Portugal:
Fernando Abílio Rodrigues Mendes.
Luís M. P. Garcia Pereira.
Luciano S. Pereira da Costa.
Paulo J. Pontes T. de Oliveira.
José A. Silva Gomes.
Carlos Alberto Roldão Lopes.
Pour l'Etat du Qatar:
Hashem A. Al-Hashemi.
Abdulwahed Fakhroo.
Pour la République arabe syrienne:
Suliman Mando.
Pour la République kirghize:
Bektenov E.
Pour la République slovaque:
Vanek Stanislav.
Pour la République tchèque:
Marcela Gurlichova.
Pour la Roumanie:
Turicu Adrian.
Pour le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord:
Michael Goddard.
Neil Mcmillan.
Malcolm Johnson.
Susan Bishop.
Pour la Fédération de Russie:
Vladimir Boulgak.
Pour la République de Saint-Marin:
Luciano Capicchioni.
Ivo Grandoni.
Michele Giri.
Pour Saint-Vincent-et-Grenadines:
Jeremiah C. Scott.
Pour l'Etat indépendant du Samoa-Occidental:
Sapa'u Ruperake Petaia.
Pour la République du Sénégal:
Abdoulaye Elimane Kane.
Aladji Amadou Thiam.
Cheikh A. Tidiane Ndiongue.
Souleymane Mbaye.
Pour la République de Singapour:
Lim Choon Sai.
Loo Hui Su.
Valerie d'Costa.
Pour la République de Slovénie:
Erih-Janez Gril.
Pour la République du Soudan:
Mustafa Ibrahim Mohamed.
Abdelwahab Gamal Mohamed.
Pour la République sudafricaine:
Pallo Jordan.
Pour la Suède:
Curt Andersson.
Pour la Confédération suisse:
Frederic Riehl.
Pour la République du Suriname:
L. C. Johanns.
R. G. Adama.
Regemi F. CH. Fraser.
M. Erwin Emanuels.
Pour le Royaume du Swalizand:
Ephraim S. F. Magagula Ma.
Buekilanga S. Malinga.
Alfred Sipho Dlamini.
Basílio Fanukwente Manana.
Pour la République du Tadjikistan:
Rakhimov K. R.
Pour la République-Unie de Tanzanie:
Adolar Barnadas Mapunda.
Emmanuel Nathaniel Olekam Bainei.
Pour la République du Tchad:
Hadjaro Barkaye.
Diassibe Tingabaye.
Haroun Mahamat.
Pour la Thaïlande:
Aswin Saovaros.
Kitti Yupho.
Pour la République togolaise:
Ayikoe Paul Kossivi.
Ably-Bidamon Dederiwe.
Pour le Royaume des Tonga:
Sione Kite.
Pour la Tunisie:
Ridha Azaiez.
Pour le Turkménistan:
Valashchuk Vasil.
Pour la Turquie:
Veli Bettemir.
Cengiz Anik.
Pour l'Ukraine:
Klikich Anatoly.
Reshetnyak Volodymyr.
Pour la République orientale de l'Uruguay:
Juan de La Cruz Silveira Zavala.
Juan José Camelo Abeceira.
Pour la République du Venezuela:
José António Rodriguez Rodriguez.
Pour la République socialiste du Viet Nam:
Mai Liem Truc.
Pour la République du Yémen:
Abdelgader A. Ibrahim.
Pour la République de Zambie:
Syamuntu Mukuli Martin.
Pour la République du Zimbabwe:
Lamech T. D. Marume.
Joshua Chideme.
Dzimbanhete Fredson Matavire.
ACTOS FINAIS DA CONFERÊNCIA DE PLENIPOTENCIÁRIOS DA UNIÃO INTERNACIONAL DAS TELECOMUNICAÇÕES (QUIOTO, 1994)
Nota explicativa relativa aos símbolos à margem dos Actos Finais
As alterações em relação aos textos da Constituição e da Convenção de Genebra (1992) são precedidas dos seguintes símbolos:
ADD = adição de uma nova disposição;
MOD = modificação de uma disposição existente;
(MOD) = disposição existente, alterada do ponto de vista editorial;
NOC = disposição sem alterações.
A estes símbolos segue-se o número da disposição actual. Uma nova disposição (símbolo ADD) será inserida no local correspondente ao número indicado, seguido de uma letra.
Instrumento de alteração à Constituição da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992)
[Alterações adoptadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994)]
PARTE I
Introdução
Em virtude e em aplicação das disposições pertinentes da Constituição da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e, nomeadamente, das disposições do seu artigo 55.º, a Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) adoptou as seguintes alterações à referida Constituição:
Artigo 8.º (CS)
Conferência de Plenipotenciários
MOD 50
b) Examina os relatórios do Conselho sobre a actividade da União desde a última Conferência de Plenipotenciários, bem como sobre a política geral e o planeamento estratégicos da União;
MOD 57
i) Examina e adopta, se for caso disso, as propostas de alteração à presente Constituição e à Convenção, formuladas pelos membros da União, em conformidade, respectivamente, com as disposições do artigo 55.º da presente Constituição e as disposições pertinentes da Convenção.
ADD 59A
3 - A título excepcional, durante o intervalo entre duas Conferências de Plenipotenciários ordinárias pode ser convocada uma Conferência de Plenipotenciários extraordinária, com uma ordem do dia restrita para tratar de assuntos específicos:
ADD 59B
a) Por decisão da Conferência de Plenipotenciários ordinária precedente;
ADD 59C
b) Mediante pedido formulado individualmente por dois terços dos membros da União e dirigido ao secretário-geral;
ADD 59D
c) Sob proposta do Conselho, com o acordo de pelo menos dois terços dos membros da União.
Artigo 9.º (CS)
Princípios relativos às eleições e questões conexas
MOD 62
b) O secretário-geral, o vice-secretário-geral, os directores dos departamentos e os membros do Comité do Regulamento das Radiocomunicações sejam eleitos de entre os candidatos propostos pelos membros enquanto seus nacionais, que sejam todos nacionais de membros diferentes e que, para a sua eleição, seja tida na devida conta uma repartição geográfica equitativa entre as regiões do mundo; no que respeita aos funcionários eleitos, devem, além disso, ser tidos em devida conta os princípios enunciados no n.º 154 da presente Constituição;
MOD 63
c) Os membros do Comité do Regulamento das Radiocomunicações sejam eleitos a título individual, podendo cada membro propor apenas um candidato.
Artigo 28.º (CS)
Finanças da União
MOD 163
4) A classe de contribuição escolhida por cada membro, em conformidade com o n.º 161 ou o n.º 162, será aplicável ao primeiro orçamento bienal a contar do termo do período de seis meses previsto no n.º 161 ou n.º 162.
PARTE II
Data de entrada em vigor
As alterações contidas no presente instrumento entrarão em vigor, na sua totalidade e sob a forma de um único instrumento, em 1 de Janeiro de 1996, entre os membros que são partes na Constituição e na Convenção a União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e que tenham depositado, antes desta data, o seu instrumento de ratificação, de aceitação ou de aprovação do presente instrumento ou de adesão ao mesmo.
Em testemunho do que, os plenipotenciários abaixo assinados subscreveram o original do presente instrumento de alteração à Constituição da União Internacional das Telecomunicaçõe (Genebra, 1992).
Feito em Quioto em 14 de Outubro de 1994.
(Seguem-se as assinaturas.)
Instrumento de alteração à Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992)
[Alterações propostas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994)]
PARTE I
Introdução
Em virtude e em aplicação das disposições pertinentes da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e, nomeadamente, das disposições do seu artigo 42.º, a Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) adoptou as seguintes alterações à referida Convenção:
Artigo 4.º (CV)
O Conselho
MOD 50
1 - O número de membros do Conselho é fixado pela Conferência de Plenipotenciários, que tem lugar de quatro em quatro anos.
MOD 50A
2 - Este número não deve ultrapassar 25% do número total dos membros da União.
MOD 80
14) Deverá assegurar a coordenação com todas as organizações internacionais referidas nos artigos 49.º e 50.º da Constituição. Para este efeito, concluirá, em nome da União, acordos provisórios com as organizações internacionais referidas no artigo 50.º da Constituição e nos n.os 260 e 261 da Convenção e com as Nações Unidas, nos termos do Acordo entre a Organização das Nações Unidas e a União Internacional das Telecomunicações; estes acordos provisórios deverão ser submetidos à Conferência de Plenipotenciários seguinte, em conformidade com a disposição pertinente do artigo 8.º da Constituição.
Artigo 7.º (CV)
Conferências mundiais de radiocomunicações
MOD 118
2) As linhas gerais desta ordem do dia deverão ser estabelecidas com uma antecedência de quatro anos e a ordem do dia definitiva será fixada pelo Conselho, de preferência dois anos antes da Conferência, com o acordo da maioria dos membros da União, sob reserva das disposições do n.º 47 da presente Convenção. Estas duas versões da ordem do dia serão baseadas nas recomendações da Conferência Mundial das Radiocomunicações, de acordo com as disposições do n.º 126 da presente Convenção.
Artigo 19.º (CV)
Participação de entidades e organizações, para além das administrações, nas actividades da União
MOD 239
9 - Uma entidade ou uma organização referida no n.º 229 ou no n.º 230 poderá actuar em nome do membro que a aprovou, se este fizer saber ao director do departamento interessado que lhe concedeu a necessária autorização.
Artigo 23.º (CV)
Convite e admissão às conferências de plenipotenciários quando haja um governo convidante
MOD 258
3 - O secretariado-geral convidará, na qualidade de observadores:
ADD 262A
e) As entidades e organizações referidas no n.º 229 da presente Convenção e as organizações de carácter internacional que representam essas entidades e organizações.
(MOD) 269
b) Os observadores das organizações e instituições convidadas em conformidade com os n.os 259 a 262A.
Artigo 24.º (CV)
Convite e admissão às conferências de radiocomunicações quando haja um governo convidante
MOD 271
2 - 1) As disposições dos n.os 256 a 265 da presente Convenção, com excepção do n.º 262A, são aplicáveis às conferências de radiocomunicações.
Artigo 32.º (CV)
Regulamento interno das conferências e outras reuniões
MOD 379
2) O texto de qualquer proposta importante que deva ser objecto de tradução deverá ser distribuído nas línguas de trabalho da conferência, com a antecedência suficiente para permitir o seu estudo antes da discussão.
Artigo 33.º (CV) (ver nota *)
Finanças
NOC 475
4 - As disposições seguintes aplicar-se-ão às contribuições das organizações mencionadas nos n.os 259 a 262 e das entidades admitidas a participar nas actividades da União, em conformidade com as disposições do artigo 19.º da presente Convenção.
(MOD) 476
1) As organizações mencionadas nos n.os 259 a 262 da presente Convenção e outras organizações internacionais que participem numa conferência de plenipotenciários, num sector da União ou numa conferência mundial de telecomunicações internacionais contribuirão para as despesas dessa conferência ou desse sector, em conformidade com os n.os 479 a 481, conforme o caso, salvo quando tenham sido isentas pelo Conselho, sob reserva de reciprocidade.
(MOD) 477
2) Qualquer entidade ou organização constante das listas mencionadas no n.º 237 da presente Convenção contribuirá para as despesas do sector, em conformidade com os n.os 479 e 480.
(MOD) 478
3) Qualquer entidade ou organização constante das listas mencionadas no n.º 237 da presente Convenção que participe numa conferência de radiocomunicações, numa conferência mundial de telecomunicações internacionais ou numa conferência ou assembleia de um sector do qual não seja membro contribuirá para as despesas dessa conferência ou dessa assembleia em conformidade com os n.os 479 e 481.
(MOD) 479
4) As contribuições mencionadas nos n.os 476, 477 e 478 são baseadas na livre escolha de uma classe de contribuição da escala constante do n.º 468, exceptuando as classes de 1/4, 1/8 e 1/16 de unidade reservadas aos membros da União (esta excepção não se aplica ao Sector do Desenvolvimento das Telecomunicações); a classe escolhida será comunicada ao secretário-geral; a entidade ou organização em causa poderá, em qualquer ocasião, escolher uma classe de contribuição superior à que antes tiver adoptado.
(MOD) 480
5) O montante da contribuição por unidade nas despesas de cada sector considerado é fixado em 1/5 da unidade contributiva dos membros da União. Estas contribuições serão consideradas como uma receita da União e vencerão juros em conformidade com as disposições do n.º 474.
(MOD) 481
6) O montante da contribuição por unidade nas despesas de uma conferência ou de uma assembleia será fixado dividindo o montante total do orçamento da conferência ou da assembleia em causa pelo número total de unidades pagas pelos membros a título de contribuição para as despesas da União.
Estas contribuições serão consideradas como uma receita da União. A partir do 60.º dia após o envio das facturas, vencerão juros às taxas fixadas no n.º 474.
(MOD) 482
7) A redução do número de unidades de contribuição só será possível em conformidade com os princípios enunciados nas disposições pertinentes do artigo 28.º da Constituição.
(MOD) 483
8) Em caso de denúncia da participação nos trabalhos de um sector ou no caso de terminar essa participação (ver n.º 240 da presente Convenção), a contribuição deverá ser paga até ao último dia do mês em que a denúncia produzir efeitos ou em que terminar a participação.
(MOD) 484
5 - O preço de venda das publicações será fixado pelo secretário-geral, tendo por objectivo, regra geral, cobrir as despesas de reprodução e de distribuição.
(MOD) 485
6 - A União manterá um fundo de reserva que constituirá um capital de circulação que permita fazer face às despesas essenciais e manter reservas em espécie suficientes para evitar, na medida do possível, o recurso a empréstimos. O Conselho fixará anualmente o montante do fundo de reserva em função das necessidades previstas. No final de cada exercício orçamental bienal, todos os créditos orçamentais que não tenham sido gastos ou afectados serão transferidos para o fundo de reserva. Os outros detalhes relativos a este fundo de reserva constarão do Regulamento Financeiro.
(MOD) 486
7 - 1) O secretário-geral poderá aceitar, de acordo com o Comité de Coordenação, contribuições voluntárias em espécie ou em género, sob reserva de as condições aplicáveis a essas contribuições estarem conformes, se for o caso, com o objecto e os programas da União, bem como com o Regulamento Financeiro, que deverá conter disposições especiais relativas à aceitação e utilização dessas contribuições voluntárias.
NOC 487
2) O secretário-geral informará o Conselho sobre as contribuições voluntárias no relatório de gestão financeira e num documento em que indicará resumidamente a origem e a utilização proposta de cada contribuição e o destino que lhe foi dado.
ANEXO (CV)
MOD 1002
Observador: pessoa enviada:
- Pela Organização das Nações Unidas, por uma instituição especializada das Nações Unidas, pela Agência Internacional da Energia Atómica, por uma organização regional de telecomunicações ou por uma organização intergovernamental que explore sistemas de satélites, para participar, a título consultivo, na Conferência de Plenipotenciários, numa conferência ou numa reunião de um sector;
- Por uma organização internacional, para participar, a título consultivo, numa conferência ou numa reunião de um sector;
- Pelo governo de um membro da União, para participar, sem direito de voto, numa conferência regional;
- Por uma entidade ou organização mencionada no n.º 229 da Convenção ou por uma organização de carácter internacional que represente essas entidades ou organizações;
em conformidade com as disposições pertinentes da presente Convenção.
PARTE II
Data da entrada em vigor
As alterações contidas no presente instrumento entrarão em vigor, na sua totalidade e sob a forma de um único instrumento, em 1 de Janeiro de 1996, entre os membros que são partes na Constituição e na Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e que tenham depositado, antes desta data, o seu instrumento de ratificação, de aceitação ou de aprovação do presente instrumento ou de adesão ao mesmo.
Em testemunho do que, os plenipotenciários abaixo assinados subscreveram o original do presente instrumento de alteração à Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992).
(nota *) Só a numeração dos parágrafos dos n.os 476 a 486 da Convenção foi modificada.
Feito em Quioto em 14 de Outubro de 1994.
(Seguem-se as assinaturas.)
Declarações e reservas feitas no final da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações
(Quioto, 1994) (ver nota *)
Ao assinar o presente documento, que faz parte dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), os plenipotenciários abaixo assinados confirmam que tomaram conhecimento das declarações e reservas seguintes, feitas no final da Conferência:
1
Pela Costa Rica:
A Delegação da Costa Rica à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994):
1) Declara que reserva para o seu Governo o direito:
a) De tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses e os seus serviços de telecomunicações no caso de certos membros não observarem as disposições dos Actos Finais desta Conferência (Quioto, 1994);
b) De formular as reservas que entender necessárias, até à data de ratificação dos Actos Finais desta Conferência (Quioto, 1994), sobre as disposições dos referidos Actos Finais que forem contrárias à Constituição da Costa Rica;
2) Que a Costa Rica só estará obrigada pelos instrumentos da União Internacional das Telecomunicações, nomeadamente a Constituição, a Convenção, os regulamentos administrativos e as alterações ou modificações aos referidos instrumentos, quando tiver declarado expressamente aceitar as obrigações decorrentes de cada um dos instrumentos acima mencionados e após ter aplicado previamente os procedimentos correspondentes da Constituição.
2
Pela República dos Camarões:
1 - A Delegação da República dos Camarões à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se algum membro da União não observar as disposições dos presentes Actos Finais ou dos seus anexos e protocolos, ou se reservas feitas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
2 - A Delegação da República dos Camarões reserva também para o seu Governo, se necessário for, o direito de formular outras reservas aos presentes Actos Finais.
3
Pela República do Burundi:
A Delegação da República do Burundi reserva para o seu Governo o direito:
1) De tomar quaisquer medidas que possa julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de alguns membros não observarem, por qualquer forma, as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) ou dos seus anexos e protocolos, ou ainda se reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
2) De aceitar, ou não, qualquer medida susceptível de provocar um aumento da sua parte contributiva.
Pelo Equador:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), a Delegação do Equador reserva para o seu Governo o direito de tomar qualquer medida que possa julgar necessária, em conformidade com o seu direito soberano, a ordem jurídica nacional e o direito internacional, no caso de os seus interesses serem prejudicados por alguma forma por qualquer acto de outros países.
5
Pela República Islâmica do Irão:
Em nome de Deus, o muito clemente, o muito compassivo, ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), a Delegação da República Islâmica do Irão reserva para o seu Governo o direito:
1) De tomar quaisquer medidas que possa julgar necessárias ou quaisquer medidas requeridas para proteger os seus direitos e os seus interesses se outros membros da União não se conformarem, por qualquer forma, com as disposições dos instrumentos de alteração à Constituição e à Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) adoptadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), dos seus anexos, protocolos ou regulamentos;
2) De proteger os seus interesses se certos membros da União não assumirem a sua parte nas despesas da União ou se as reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos serviços de telecomunicações da República Islâmica do Irão;
3) De não ficar obrigado pelas disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) nem pelas disposições dos instrumentos de alteração adoptados pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) que possam, directa ou indirectamente, causar prejuízo à sua soberania e violar a Constituição, as leis e os regulamentos da República Islâmica do Irão;
4) De fazer outras reservas ou declarações até à ratificação da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações e suas alterações.
6
Pela República da Venezuela:
A Delegação da República da Venezuela reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de outros membros, actuais ou futuros, deixarem de observar as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), dos seus anexos ou protocolos, ou ainda se as reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
Formula igualmente reservas no caso de a aplicação por outros membros das disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) vir a ter consequências negativas na utilização da órbita dos satélites geoestacionários e do espectro das frequências radioeléctricas pelos seus serviços de telecomunicações, dificultar ou atrasar a aplicação dos procedimentos de notificação, coordenação e registo.
Formula, além disso, reservas relativamente aos artigos da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) respeitantes à arbitragem como meio de resolução de litígios, em conformidade com a política internacional do Governo da Venezuela a tal respeito.
7
Pela República do Zimbabwe:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da República do Zimbabwe declara que o seu Governo se reserva o direito de tomar qualquer medida que julgar necessária para proteger os seus interesses, no caso de algum membro não observar ou não respeitar as disposições da Constituição ou da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) ou os seus protocolos, anexos e regulamentos, ou se reservas de outros países comprometerem o bom funcionamento do seu sector das telecomunicações.
8
Pelo Reino do Butão:
A Delegação do Reino do Butão à Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas necessárias para proteger os seus interesses se quaisquer membros deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), ou dos seus anexos e protocolos, ou se reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
Pela República do Gabão:
A Delegação da República do Gabão reserva para o seu Governo o direito:
1) De tomar quaisquer medidas necessárias para proteger os seus interesses se certos membros não observarem, de qualquer maneira, as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), ou se reservas feitas por outros membros comprometerem o funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
2) De aceitar ou não as consequências financeiras que possam eventualmente resultar dessas reservas.
10
Pela República da Zâmbia:
A Delegação da República da Zâmbia à Conferência de Plenipotenciários Adicional da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para salvaguardar os seus interesses no caso de membros da União não respeitarem, de uma ou de outra forma, as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição ou da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) adoptadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou se reservas feitas por esses membros afectarem directa ou indirectamente o funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou a sua soberania.
A Delegação da República da Zâmbia reserva, além disso, para o seu Governo o direito de fazer outras reservas que julgar necessárias, até à data, inclusive, de ratificação pela República da Zâmbia das alterações à Constituição e à Convenção adoptadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994).
11
Pela República da Indonésia:
Em nome da República da Indonésia, a Delegação da Indonésia à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994):
1) Reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer disposições e medidas de protecção que considerar necessárias para proteger os seus interesses nacionais se quaisquer disposições da Constituição, da Convenção e das resoluções, bem como qualquer decisão da Conferência de Plenipotenciários da UIT (Quioto, 1994), afectarem directa ou indirectamente a sua soberania ou forem contrárias à Constituição, à legislação e à regulamentação da República da Indonésia enquanto parte de outros tratados e convenções e que para ela decorram de qualquer princípio do direito internacional;
2) Reserva, além disso, para o seu Governo o direito de tomar quaisquer disposições ou medidas de protecção que considerar necessárias para proteger os seus interesses nacionais se algum membro não observar, de qualquer modo, as disposições dos instrumentos de alteração à Constituição e à Convenção da UIT (Genebra, 1992) adoptados pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou se as consequências de reservas formuladas por algum membro comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua contribuição para as despesas da União.
12
Pela Malásia:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da Malásia reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que possa julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros não satisfazerem a sua parte nas despesas da União ou deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), ou dos seus anexos, ou ainda se reservas de outros membros comprometerem o bom funcionamento dos serviços de telecomunicações da Malásia.
13
Pela Espanha:
A Delegação da Espanha, em virtude das disposições da Convenção de Viena sobre o Direito dos Tratados de 23 de Maio de 1969, reserva para o Reino de Espanha o direito de formular reservas aos Actos Finais adoptados pela presente Conferência até ao momento do depósito do instrumento de ratificação apropriado.
14
Pelo Brunei Darussalam:
A Delegação do Brunei Darussalam reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que possa julgar necessárias para proteger os seus interesses se algum país deixar de se conformar, por qualquer forma, com as obrigações que decorrem da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), modificadas pelos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou dos seus anexos e protocolos, ou se as reservas feitas por outros países forem prejudiciais aos interesses do Brunei Darussalam ou causarem um aumento da sua contribuição para as despesas da União.
A Delegação do Brunei Darussalam reserva igualmente para o seu Governo o direito de formular as reservas suplementares que possa considerar necessárias até ao dia, inclusive, da ratificação pelo Brunei Darussalam da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e das suas alterações (Quioto, 1994).
15
Pela República Argelina Democrática e Popular:
A Delegação da República Argelina Democrática e Popular à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que possa julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros não observarem, por qualquer forma, as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), ou se as reservas formuladas por outros membros comprometerem os seus serviços de telecomunicações ou provocarem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
16
Pela República do Chade:
Ao assinar os instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção (Genebra, 1992), a Delegação da República do Chade à Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) reserva o direito, para o seu Governo, de tomar todas as medidas que julgar necessárias:
1) Se um membro não observar, por qualquer forma, as disposições da Constituição e da Convenção (Quioto, 1994) e os seus anexos respectivos;
2) Se as reservas formuladas por outros membros tenderem a comprometer o bom funcionamento e a boa exploração técnica dos serviços de telecomunicações da República do Chade.
Além disso, a Delegação da República do Chade reserva para o seu Governo o direito de fazer qualquer declaração ou reserva no momento da ratificação da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações.
17
Pelo Reino da Suazilândia:
Ao assinar os Actos Finais da presente Conferência de Plenipotenciários, a Delegação do Reino da Suazilândia reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para salvaguardar os seus interesses no caso de alguns membros não respeitarem, por qualquer forma, as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) ou dos seus anexos e regulamentos, ou se reservas feitas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
18
Pela República do Sudão:
A Delegação da República do Sudão reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se algum membro não observar, de qualquer modo, as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), modificadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou ainda se as reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos serviços de telecomunicações da República do Sudão ou provocarem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
19
Pelo Burkina Faso:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), a Delegação do Burkina Faso reserva para o seu Governo o direito de tomar todas as medidas que julgar necessárias para proteger os interesses do Burkina Faso:
1) Se um membro não observar, por alguma forma, as disposições dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) e os seus respectivos anexos;
2) Se certos membros não satisfizerem a sua parte nas despesas da União;
3) Se as reservas formuladas por outros membros forem susceptíveis de comprometer o bom funcionamento e a boa exploração técnica e ou comercial dos serviços de telecomunicações no Burkina Faso.
A Delegação do Burkina Faso reserva, para além disso, para o seu Governo o direito de fazer qualquer declaração ou reserva no momento da ratificação dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994).
20
Pela Etiópia:
Ao assinar os Actos Finais das Constituição e Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da Etiópia reserva para o seu Governo o direito:
1) De fazer qualquer reserva que julgar apropriada no que respeita a qualquer texto, resolução, recomendação ou voto constante da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) que possa afectar directa ou indirectamente os seus interesses ou o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
2) De tomar qualquer medida que julgar necessária para salvaguardar e proteger os seus interesses se qualquer membro da União deixar de se conformar com as disposições da Constituição e da Convenção;
3) De fazer qualquer outra declaração ou reserva até à ratificação da Constituição e Convenção de Quioto.
21
Pelo Malawi:
A Delegação do Malawi à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se outros membros não se conformarem, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) ou com os seus anexos e regulamentos, ou se reservas formuladas por membros da União comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
22
Pela República Oriental do Uruguai:
A Delegação da República Oriental do Uruguai declara, em nome do seu Governo, que este se reserva o direito de tomar as medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de outros membros não observarem as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) ou do Protocolo Facultativo, ou se reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
23
Pela República Popular da China:
A Delegação da República Popular da China, ao assinar os presentes Actos Finais, reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se um membro, por qualquer forma, deixar de se conformar com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), ou dos seus anexos, ou ainda se reservas formuladas por outros países comprometerem os seus interesses.
24
Pela República da Uganda:
Ao assinar os Actos Finais, a República da Uganda reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se um membro, por qualquer forma, não se conformar com as exigências dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), dos seus anexos ou protocolos, ou ainda se as reservas formuladas por outros países prejudicarem os seus interesses.
25
Pela República Unida da Tanzânia:
A Delegação da República Unida da Tanzânia à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para salvaguardar os seus interesses no caso de outros membros deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), ou se as reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
26
Pela República Argelina Democrática e Popular, pelo Estado do Barein, pela República Federal Islâmica das Comoros, pela República do Jibuti, pela República Islâmica do Irão, pelo Estado do Koweit, pelo Líbano, pela República Islâmica da Mauritânia, pelo Sultanato de Oman, pela República Islâmica do Paquistão, pelo Estado do Qatar, pelo Reino da Arábia Saudita, pela República do Sudão, pela República Árabe Síria, pela Tunísia, pelos Emirados Árabes Unidos e pela República do Yemen:
As Delegações acima mencionadas à Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) declaram que a assinatura e a ratificação eventual pelos seus Governos respectivos dos Actos Finais da dita Conferência não têm validade m relação ao membro da UIT que figura sob a denominação de «Israel» e não implicam qualquer reconhecimento deste membro por estes Governos.
27
Pela República da Guiné:
A Delegação da República da Guiné à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), ou se as reservas feitas por outros países comprometerem o bom funcionamemto dos seus serviços de telecomunicações ou aumentarem a sua parte contributiva para as despesas da União.
28
Pela República de São Marino:
Ao assinar o Protocolo Final da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da República de São Marino reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de algum membro não se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção, dos seus anexos ou protocolos e dos Regulamentos Administrativos.
O Governo da República de São Marino reserva-se igualmente o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias se as reservas formuladas por outros membros limitarem ou comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
29
Pela Commonwealth das Baamas:
A Delegação da Commonwealth das Baamas reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de um membro da União não observar, por qualquer forma, as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção (Genebra, 1992), adoptados pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto (1994), ou de um instrumento anexo, ou se reservas formuladas por um outro país comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
30
Pela República do Mali:
A República do Mali, ao assinar os Actos Finais da Conferência, reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas e acções necessárias para proteger os seus direitos e interesses nacionais no caso de alguns membros da União deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições dos Actos mencionados e prejudicarem directa ou indirectamente os interesses dos seus serviços de telecomunicações ou comprometerem a segurança e a soberania nacionais.
31
Pela República Islâmica do Paquistão:
A Delegação da República Islâmica do Paquistão reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de um membro não observar, por qualquer forma, as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção (Genebra, 1992), adoptados pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto (1994), ou os seus anexos, ou ainda se as reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua contribuição para as despesas da União.
32
Pela República Árabe Síria:
A Delegação da República Árabe Síria declara que o seu Governo se reserva o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de um membro não se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e dos Actos Finais desta Conferência (Quioto, 1994), ou se reservas feitas por um membro comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da parte contributiva da Síria para as despesas da União.
33
Por São Vicente e Granadinas:
A Delegação de São Vicente e Granadinas reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que considerar necessárias para proteger os seus interesses no caso de qualquer membro deixar de se conformar com as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção (Genebra, 1992), adoptados pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto (1994), ou de um instrumento anexo, ou ainda se uma reserva formulada por um outro país comprometer o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
34
Pelos Barbados:
A Delegação dos Barbados reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que considerar necessárias para proteger os seus interesses no caso de qualquer membro deixar de se conformar com as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção (Genebra, 1992), adoptados pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto (1994), ou de um instrumento que lhe seja anexo, ou ainda se uma reserva formulada por outro país comprometer o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
35
Pela República do Benim:
A Delegação da República do Benim à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito de tomar todas as medidas que considerar necessárias para proteger os seus interesses no caso de alguns membros não se conformarem com as disposições das presentes Constituição e Convenção da União Internacional das Telecomunicações, ou se as reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua contribuição para as despesas da União.
36
Pela Guiana:
A Delegação da Guiana reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que considerar necessárias para proteger os seus interesses no caso de qualquer membro deixar de se conformar com as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção (Genebra, 1992), adoptados pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto (1994), ou de um instrumento anexo, ou ainda se uma reserva formulada por um outro país comprometer o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
37
Pela República da Colômbia:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da República da Colômbia:
1) Reitera e retoma, por via de referência expressa, as reservas e declarações formuladas aquando das conferências administrativas mundiais;
2) Reitera, quanto ao fundo, a reserva n.º 48 formulada na Conferência de Plenipotenciários Adicional da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992).
38
Pela República Islâmica da Mauritânia:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da Mauritânia declara que o seu Governo se reserva o direito:
1) De tomar qualquer disposição necessária para preservar os interesses nacionais se alguns membros não respeitarem, por qualquer forma, as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), alteradas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou se reservas feitas por outros membros não se conformarem com a sua preocupação cardinal de fazer funcionar a sua rede de telecomunicações da forma mais idónea;
2) De aceitar ou não as incidências financeiras que decorrem dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) ou de reservas formuladas por outros membros.
A Delegação da Mauritânia declara igualmente que a Constituição e a Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), bem como qualquer alteração resultante da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) aos seus instrumentos, estão sujeitas à ratificação pelas instituições nacionais competentes.
39
Pelo Reino do Cambodja:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), a Delegação do Reino do Cambodja reserva para o seu Governo:
1) O direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os interesses do Reino do Cambodja:
a) Se um membro não se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e os anexos respectivos, bem como os textos alterados e adoptados pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994);
b) Se as reservas formuladas por outros membros forem susceptíveis de comprometer o bom funcionamento dos serviços de telecomunicações do Reino do Cambodja;
2) A Delegação do Reino do Cambodja reserva, além disso, para o seu Governo o direito de tomar as medidas necessárias susceptíveis de regularizar os pagamentos em atraso à UIT desde 1970 até ao presente.
40
Por Cuba:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), a Delegação de Cuba declara:
- Que, em vista da persistência das ingerências do Governo dos Estados Unidos da América, que impõem emissões de radiodifusão e de televisão dirigidas ao território cubano com objectivos políticos e de desestabilização, em flagrante violação das disposições e princípios que regem as comunicações mundiais, que consistem, nomeadamente, em facilitar a cooperação internacional e o desenvolvimento económico e social entre os povos, e em detrimento do bom funcionamento e do desenvolvimento normal dos serviços de radiocomunicações urbanos, a Administração cubana reserva-se o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias.
- As consequências que as medidas que a Administração cubana se vir obrigada a tomar devido a actos ilegais do Governo dos Estados Unidos da América serão da responsabilidade única e exclusiva deste Governo;
- Que não reconhece de modo algum a notificação, a inscrição e a utilização de frequências pelo Governo dos Estados Unidos da América na parte do território cubano da província de Guantánamo, ocupada pela força e contra a vontade expressa do povo e do Governo cubanos;
- Que não aceita o Protocolo Facultativo sobre a Resolução Obrigatória de Litígios Relativos à Constituição, à Convenção e aos Regulamentos Administrativos;
- Que reserva para o seu Governo o direito de tomar as medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de outros países membros não respeitarem, por qualquer forma, a Constituição e a Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), os Regulamentos Administrativos e alterações à Constituição e à Convenção que constam dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou se as reservas formuladas por outros membros comprometerem, por qualquer forma, o bom funcionamento dos serviços de telecomunicações de Cuba ou causarem um aumento da sua contribuição para as despesas da União. Do mesmo modo, a Delegação de Cuba reserva para o seu Governo o direito de formular qualquer declaração ou reserva adicional que possa revelar-se necessária, até ao momento do depósito do seu instrumento de ratificação da Constituição e da Convenção, e dos instrumentos de alteração adoptados pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994).
41
Pela República Socialista do Vietname:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação do Vietname declara, em nome da República Socialista do Vietname, que mantém as reservas formuladas na Conferência de Plenipotenciários de Nairobi (1982) e reiteradas nas Conferências de Plenipotenciários de Nice (1989) e de Genebra (1992) da União Internacional das Telecomunicações.42
Pelo México:
A Delegação do México reitera e retoma, por via de referência expressa, as reservas formuladas no decurso das Conferências Administrativas Mundiais e na Conferência de Plenipotenciários Adicional (Genebra, 1992) e reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de outros membros deixarem, por qualquer forma, de se conformar com as alterações da Constituição e da Convenção que foram aprovadas, ou com qualquer outra decisão adoptada pela Conferência, ou se reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua contribuição para as despesas da União.
43
Pela República da Coreia:
A Delegação da República da Coreia reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que possa considerar necessárias para proteger os seus interesses se certos membros não respeitarem, por qualquer forma, as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), adoptados pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto (1994), os seus anexos, ou se reservas formuladas por outros países comprometerem os seus interesses.
44
Pela Tailândia:
A Delegação da Tailândia reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de um país membro ou de algum membro não se conformar, por qualquer forma, com as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (adoptadas em Quioto, 1994), ou se reservas formuladas por um país membro ou algum membro comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
45
Pela República do Níger:
A Delegação do Níger à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito:
1) De tomar as medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros deixarem, de alguma forma, de se conformar com os instrumentos da União Internacional das Telecomunicações como adoptados em Quioto (Setembro/Outubro, 1994), ou se reservas formuladas pelos membros vierem a comprometer o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
2) De não aceitar qualquer consequência de reservas susceptíveis de causar um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
46
Pelo Peru:
A Delegação do Peru reserva para o seu Governo o direito:
1) De tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de outros membros da União não se conformarem, por qualquer forma, com as disposições adoptadas pela presente Conferência de Plenipotenciários, ou se as reservas formuladas por estes membros causarem um prejuízo ou colocarem em perigo os serviços de telecomunicações do Peru;
2) De aceitar ou não as consequências das reservas feitas por outros Estados membros que possam causar um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União; e
3) De formular qualquer outra reserva que considerar necessária no momento da ratificação.
47
Pela República do Senegal:
Ao assinar os Actos Finais da presente Conferência de Plenipotenciários, que decorreu em Quioto de 19 de Setembro a 14 de Outubro de 1994, a Delegação da República do Senegal declara, em nome do seu Governo, não aceitar qualquer consequência das reservas feitas por outros governos tendo por consequência o aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
Além disso, a República do Senegal reserva-se o direito de tomar quaisquer medidas que julgar úteis para a salvaguarda dos seus interesses no caso de certos membros deixarem de se conformar com as disposições constantes dos instrumentos de alteração à Constituição e à Convenção (Genebra, 1992) que foram adoptados pela Conferência, ou no caso das reservas feitas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
48
Pela Áustria, pela Bélgica e pelo Luxemburgo:
1 - As Delegações dos países acima mencionados declaram que mantêm as declarações e reservas formuladas no fim da Conferência de Plenipotenciários Adicional da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e que estas declarações e reservas se aplicam igualmente aos instrumentos de alteração à Constituição e à Convenção adoptados pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994).
2 - Declaram, além disso, que, se forem formuladas reservas ou declarações por outros membros da União após a assinatura dos Actos Finais, reservam para os seus Governos o direito de não reconhecer tais reservas ou declarações.
49
Pela Confederação Suíça e pelo Principado do Listenstein:
1 - As Delegações dos países acima mencionados declaram que mantêm as declarações e reservas feitas no fim da Conferência de Plenipotenciários Adicional da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e que estas declarações e reservas se aplicam igualmente aos instrumentos de alteração à Constituição e à Convenção adoptados pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994).
2 - Declaram, além disso, que, se forem formuladas reservas ou declarações por outros membros da União após a assinatura dos Actos Finais, reservam o direito para o seu Governo de não reconhecer tais reservas ou declarações.
50
Pela República de Cabo Verde:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação de Cabo Verde declara, em nome do seu Governo:
a) Que não aceita qualquer consequência das reservas feitas por outros governos que causem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União;
b) Que reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou não se conformarem, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações modificadas pelos Actos Finais desta Conferência, ou ainda se reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
c) Que reserva, para além disso, para o seu Governo o direito de formular reservas específicas adicionais aos referidos Actos Finais, bem como a qualquer outro instrumento resultante de outras conferências pertinentes da UIT ainda não ratificado, até ao momento do depósito do seu instrumento de ratificação respectivo.
51
Pela República de Angola:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação de Angola declara, em nome do seu Governo:
a) Que não aceita qualquer consequência das reservas feitas por outros governos que causem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União;
b) Que reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros deixarem de se conformar com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações modificadas pelos Actos Finais desta Conferência, ou ainda se reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
c) Que reserva, para além disso, para o seu Governo o direito de formular as reservas específicas adicionais aos referidos Actos Finais, bem como a qualquer outro instrumento resultante de outras conferências pertinentes da UIT ainda não ratificado, até ao momento do depósito do seu instrumento de ratificação respectivo.
52
Pela República de Singapura:
A Delegação da República de Singapura reserva para o seu Governo o direito de tomar todas as medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se membros da União não respeitarem, por qualquer forma, as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), alterados pelos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou os anexos ou os protocolos dos ditos instrumentos, ou se reservas de um membro da União comprometerem os serviços de telecomunicações da República de Singapura, causarem prejuízo à sua soberania ou implicarem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
A Delegação da República de Singapura reserva, além disso, para o seu Governo o direito de formular todas as reservas suplementares que julgar necessárias até ao momento, incluindo este, em que a Constituição e a Convenção da UIT (Genebra, 1992) forem ratificadas pela República de Singapura.
53
Pela República da África do Sul:
A Delegação da República da África do Sul reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se certos membros não respeitarem as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicaçõe (Genebra, 1992), dos seus anexos ou protocolos, modificados nos termos dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), bem como se reservas formuladas por outros membros ou medidas tomadas por outros membros forem de natureza a comprometer o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
54
Pela República da Polónia:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da República da Polónia declara, em nome do seu Governo, que:
1) Não aceita qualquer consequência das reservas feitas por outros governos que causem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União;
2) Reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de alguns membros não satisfazerem a sua parte nas despesas da União ou deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações, modificadas pelos Actos Finais desta Conferência, ou ainda se reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
3) Reserva, para além disso, para o seu Governo o direito de formular reservas específicas aos ditos Actos Finais, bem como a qualquer outro instrumento resultante de outras conferências pertinentes da UIT ainda não ratificado, até ao momento do depósito do seu instrumento de ratificação respectivo.
55
Pela República Checa:
A Delegação da República Checa reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se alguns membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou não respeitarem as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações, os seus anexos, protocolos ou regulamentos e os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994).
56
Pela República Eslovaca:
A Delegação da República Eslovaca reserva pra o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se alguns membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou não respeitarem as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações, os seus anexos, protocolos ou regulamentos, ou os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou se reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
57
Pela Papuásia-Nova Guiné:
A Delegação da Papuásia-Nova Guiné reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que considerar necessárias para proteger os seus interesses se certos membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou se deixarem de se conformar, por outra forma, com as obrigações que decorrem da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), alteradas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou seus anexos e protocolos, ou ainda se reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos serviços de telecomunicações da Papuásia-Nova Guiné.
58
Pelo Principado do Mónaco:
A Delegação do Principado do Mónaco reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que considerar necessárias para salvaguardar os interesses nacionais se alguns membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou se, por qualquer outra forma, não respeitarem as disposições de alteração à Constituição e à Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) adoptadas pela presente Conferência (Quioto, 1994), ou ainda no caso de reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua contribuição para as despesas da União.
59
Pela República da Costa do Marfim:
A República da Costa do Marfim reserva para o seu Governo o direito:
a) De tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se os membros deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), alteradas pela presente Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994);
b) De recusar as consequências de reservas formuladas nos Actos Finais da presente Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) por outros membros que possam causar um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União ou que possam comprometer o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
c) De formular reservas ou recusar quaisquer alterações decorrentes da presente Conferência à Constituição e à Convenção da União que possam comprometer o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou afectar directa ou indirectamente a sua soberania.
60
Pela República da Bulgária:
A Delegação da República da Bulgária à Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito:
1) De tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se um membro da União deixar de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), alteradas pela Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), ou se as consequências de qualquer reserva formulada por um outro país comprometerem o bom funcionamento dos serviços de telecomunicações da Bulgária;
2) De não aceitar qualquer medida financeira que possa causar um aumento injustificado da sua parte contributiva nas despesas da União;
3) De formular qualquer declaração ou reserva na altura da ratificação das alterações da Constituição e da Convenção da UIT (Genebra, 1992) adoptadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994).
61
Pelo Canadá:
A Delegação do Canadá declara que reserva para o seu Governo o direito de fazer declarações ou de formular reservas quando depositar os seus instrumentos de ratificação para os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) da União Internacional das Telecomunicações.
62
Pela República de Fidji:
Ao assinar o presente documento, parte dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) e tendo em consideração as disposições do n.º 16 do artigo 32.º da Convenção, o delegado da República de Fidji reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de algum membro deixar de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), ou dos seus anexos e protocolos, ou ainda se as reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
63
Pela Itália:
A Delegação da Itália reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se alguns membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da Uniao Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), alteradas pelos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários de Quioto (1994), seus anexos e protocolos, ou se reservas de outros países causarem um aumento das suas partes contributivas para as despesas da União, ou, finalmente, se as reservas de outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
64
Pela República das Filipinas:
A Delegação da República das Filipinas reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias e suficientes, em conformidade com a sua legislação nacional, para proteger os seus interesses se reservas formuladas por representantes de outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou comprometerem os seus direitos enquanto país soberano.
A Delegação filipina reserva, além disso, para o seu Governo o direito de formular quaisquer declarações ou reservas antes do depósito do instrumento de ratificação da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e das suas alterações, aprovadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994).
65
Pelo Reino da Arábia Saudita, pelo Estado do Barein, pelos Emirados Árabes Unidos, pelo Estado do Koweit, pelo Sultanato de Oman e pelo Estado do Qatar:
As Delegações dos países acima mencionados à Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) declaram que os seus Governos se reservam o direito de tomar quaisquer medidas que julgarem necessárias para salvaguardar os seus interesses se alguns membros não assumirem a sua parte nas despesas da União, ou se deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) ou as resoluções em anexo, ou ainda se reservas feitas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
66
Pela República da Hungria:
A Delegação da República da Hungria reserva para o seu Governo o direito de não aceitar qualquer medida financeira susceptível de causar aumentos não justificados da sua contribuição para as despesas da União e de tomar quaisquer medidas que julgar oportunas a fim de proteger os seus interesses no caso de países membros deixarem de se conformar com as disposições da Constituição e da Convenção ou comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações, e o direito de formular reservas e declarações específicas antes da ratificação dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994).
67
Pela República Democrática Popular do Laos:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da República Democrática Popular do Laos reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se certos membros da União deixarem de se conformar com as disposições dos Actos Finais, da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações, dos seus anexos ou protocolos, ou se as reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
68
Pela Dinamarca, pela República da Estónia, pela Finlândia, pela Islândia, pela República da Letónia, pela Noruega e pela Suécia:
No momento da assinatura dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários de Quioto, as Delegações dos países acima mencionados declaram formalmente manter as declarações e as reservas (n.º 46) que os seus países formularam aquando da assinatura dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários Adicional da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992).
69
Pelo Reino Unido da Grã-Bretanha e da Irlanda do Norte:
A Delegação do Reino Unido da Grã-Bretanha e da Irlanda do Norte reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de outros membros não se se conformarem, por qualquer forma, com a Constituição e a Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), alteradas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou com os anexos a estes instrumentos, ou no caso de reservas formuladas por outros países comprometerem os seus interesses.
70
Pela República da Bielorrússia, pela Federação da Rússia, pela Ucrânia e pela Mongólia:
As Delegações dos países acima mencionados reservam para os seus Governos respectivos o direito de fazer qualquer declaração ou reserva no momento da ratificação dos instrumentos de alteração (Quioto, 1994) da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicaçõe (Genebra, 1992) e de tomar quaisquer medidas que julgarem necessárias para proteger os seus interesses se um membro qualquer da União deixar de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações, ou se as reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua contribuição anual para as despesas da União.
71
Pela Turquia:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), a Delegação da República da Turquia reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no casos de um membro deixar de se conformar, por qualquer forma, com as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção (Genebra, 1992) adoptados pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto, dos seus anexos ou protocolos, ou se reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua contribuição para as despesas da União.
72
Pela República do Quénia:
I
A Delegação da República do Quénia reserva para o seu Governo o direito de tomar qualquer medida que julgar necessária e ou apropriada para salvaguardar e proteger os seus interesses no caso de um membro deixar de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e de qualquer alteração aos referidos instrumentos introduzida pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) e ou qualquer outro instrumento conexo. Além disso, a Delegação afirma que o Governo do Quénia não aceita qualquer responsabilidade decorrente de qualquer reserva formulada por outros membros da União.
II
A Delegação da República do Quénia, lembrando a reserva n.º 90 à Convenção de Nairobi (1982), reitera, em nome do seu Governo, a letra e o espírito da dita reserva.
73
Pela Grécia:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da Grécia declara:
1) Que reserva para o seu Governo o direito:
a) De tomar quaisquer medidas, em conformidade com o seu direito interno e com o direito internacional, que julgar ou considerar necessárias ou úteis para proteger e salvaguardar os seus direitos soberanos e inalienáveis e os seus interesses legítimos no caso de os Estados membros da UIT deixarem, por qualquer forma, de respeitar ou de aplicar, por um lado, as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e dos seus anexos e protocolos, alterados pelos Actos Finais desta Conferência (Quioto, 1994), e, por outro lado, os regulamentos administrativos que os completam, ou actos de outras entidades ou partes terceiras que possam afectar ou comprometer a sua soberania nacional;
b) De formular, em virtude da Convenção de Viena sobre o Direito dos Tratados, de 1969, reservas aos ditos Actos Finais em qualquer momento que julgar oportuno, entre a data da sua assinatura e a data da sua ratificação, bem como a qualquer outro instrumento resultante de outras conferências pertinentes da UIT ainda não ratificado, e ainda de não estar obrigado por qualquer disposição dos ditos instrumentos que limite o seu direito soberano de formular reservas;
c) De não aceitar qualquer consequência de quaisquer reservas formuladas por outras partes contratantes que, entre outras coisas, possam causar um aumento da sua própria quota-parte contributiva para as despesas da União ou outras incidências financeiras ou, ainda, se as ditas reservas comprometerem o bom e eficaz funcionamento dos serviços de telecomunicações da República da Grécia;
2) Que está perfeitamente estabelecido que o termo «país» utilizado nas disposições dos presentes Actos Finais, bem como em qualquer outro instrumento ou acto da União Internacional das Telecomunicações relativo aos seus membros e aos seus direitos e obrigações, é considerado a todos os respeitos como sinónimo do termo «Estado soberano» constituído legalmente e reconhecido internacionalmente.
74
Pela República Federal da Alemanha:
1 - A Delegação da República Federal da Alemanha reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se alguns membros não assumirem a sua parte das despesas da União ou, por qualquer outra forma, não respeitarem as disposições dos instrumentos de alteração (Quioto, 1994) da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), ou se reservas formuladas por outros países forem de natureza a aumentar a sua contribuição para as despesas da União ou a comprometer o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
2 - A Delegação da República Federal da Alemanha declara, a propósito do artigo 4.º da Constituição da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), que mantém as reservas formuladas em nome da República Federal da Alemanha aquando da assinatura dos regulamentos referidos no artigo 4.º
75
Pela Tunísia:
A Delegação tunisina à Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito:
1) De tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se um membro qualquer não assumir a sua parte das despesas da União ou não se conformar, por qualquer forma, com as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) adoptados pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto, ou os seus anexos, protocolos ou resoluções, ou se reservas formuladas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
2) De fazer qualquer declaração ou reserva até ao momento da ratificação da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) adoptados pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto.
76
Pela República da Namíbia:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), sob reserva da sua ratificação oficial, a Delegação da Namíbia reserva para o seu Governo o direito de tomar qualquer medida que julgar necessária para proteger os seus interesses no caso de qualquer outro membro não regularizar a sua parte contributiva para as despesas da União ou deixar de se conformar, por qualquer outra forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações, dos seus anexos ou dos seus protocolos, ou se reservas formuladas por outros membros puderem comprometer o funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causar um aumento da sua parte contributiva nas despesas da União.
77
(Este número não foi utilizado.)
78
Pela República da Índia:
1 - Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação da República da Índia não aceita pelo seu Governo quaisquer consequências financeiras que resultem das reservas que possam ser formuladas por um membro no que respeita às finanças da União.
2 - Além disso, a Delegação da República da Índia reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para salvaguardar e proteger os seus interesses no caso de um membro não se conformar, por qualquer forma, com uma ou várias das disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) ou das alterações adoptadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) ou dos regulamentos administrativos.
79
Pela Nova Zelândia:
No momento de assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) da União Internacional das Telecomunicações, a Delegação do Governo da Nova Zelândia reitera a declaração e a reserva (n.º 29) que formulou aquando da assinatura dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Genebra, 1992), respeitante às alterações da Constituição e da Convenção nos termos dos instrumentos de Quioto.
80
Pela República Argelina Democrática e Popular, pelo Reino da Arábia Saudita, pela Commonwealth das Baamas, pelo Estado do Barein, pelos Barbados, pela República dos Camarões, pela República da Costa do Marfim, pelos Emirados Árabes Unidos, pela Guiana, pela República da Índia, pela República Islâmica do Irão, pelo Reino Hachemita da Jordânia, pela República do Quénia, pelo Estado do Koweit, pelo Líbano, pelo Reino da Marrocos, pelo Sultanato de Oman, pela República Islâmica do Paquistão, pela Papuásia-Nova Guiné, pelo Estado do Qatar, pela República Árabe Síria, por São Vicente e Granadinas, pela República do Senegal, pela Tailândia e pela República do Zimbabwe:
As Delegações consideram que os regulamentos administrativos aos quais é feita referência no n.º 31 da Constituição são o Regulamento das Radiocomunicações e o Regulamento das Telecomunicações Internacionais, modificados pelas conferências competentes reunidas após a Conferência de Plenipotenciários Adicional de Genebra, em 1992. Foram submetidas propostas a esta Conferência para afirmar o carácter obrigatório dos regulamentos administrativos revistos e estas propostas não foram retidas ao nível da comissão competente unicamente para minimizar o número de alterações a introduzir por esta Conferência na Constituição. No decurso da discussão destas propostas, o carácter de «tratado internacional» ligando todos os membros que assinaram as suas revisões sucessivas não foi questionado.
Foi também admitido que qualquer reserva da parte de um membro, declarando que esse membro não aplica total ou parcialmente a revisão de um regulamento, bem como qualquer declaração no mesmo sentido durante o período que se segue à conferência competente na qual foi revisto um regulamento, não estão em conformidade com as disposições da Convenção de Viena sobre os Tratados, que estipula, no seu artigo 27.º «uma parte não pode invocar as disposições do seu direito interno como justificação para a não execução de um tratado».
A Conferência reconheceu que existe um vazio jurídico quanto aos membros que declararam, durante o período posterior à Conferência competente no qual foi revisto um regulamento, que não aceitam estar ligados pelas revisões dos regulamentos administrativos.
Tendo em conta o que acima se expôs e considerando que a Conferência Mundial das Radiocomunicações, que irá ter lugar em 1995, irá rever o conjunto do Regulamento das Radiocomunicações, os signatários reiteram o seu direito soberano, que é o do conjunto dos membros da UIT, sobre os recursos comuns que são o espectro das frequências radioeléctricas e a órbita dos satélites geoestacionários. A sua participação na Conferência Mundial das Radiocomunicações de 1995 e a sua aceitação das respectivas decisões serão baseadas no princípio de que o regulamento internacional revisto pela dita Conferência é um tratado que liga todos os membros que o assinarem, em conformidade com os n.os 30 e 31 da Constituição.
81
Por Portugal:
Ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), a Delegação de Portugal, declara, em nome do seu Governo:
a) Que não aceita qualquer consequência de reservas feitas por outros governos que causem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União;
b) Que reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que possa julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de alguns membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações, modificadas pelos Actos Finais desta Conferência, ou ainda se reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações;
c) Que reserva, para além disso, para o seu Governo o direito de formular reservas específicas adicionais aos ditos Actos Finais, bem como a qualquer outro instrumento resultante de outras conferências pertinentes da UIT ainda não ratificado, até ao momento do depósito do instrumento de ratificação respectivo.
82
Pelo Japão:
A Delegação do Japão reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para salvaguardar os seus interesses no caso de certos membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou se um membro não se conformar com as alterações da Constituição ou da Convenção da União Internacional das Telecomunicações adoptadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou ainda se as reservas formuladas por outros países comprometerem os seus interesses.
83
Pela República Federal da Nigéria:
A Delegação da República Federal da Nigéria à Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) declara que o seu Governo se reserva o direito:
1) De tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros da União não assumirem a sua parte nas despesas da União ou deixarem de se conformar, por qualquer outra forma, com as disposições dos instrumentos de alteração da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) adoptadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou os seus anexos e protocolos, ou ainda se reservas formuladas por outros países comprometerem de qualquer maneira o bom funcionamento dos serviços de telecomunicações da República Federal da Nigéria;
2) De fazer qualquer declaração ou reserva até ao momento da ratificação da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994).
84
Pelos Estados Unidos da América:
Os Estados Unidos da América referem-se aos n.os 445 e 446 da Convenção (Genebra, 1992) e salientam que, aquando do exame dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), serão eventualmente conduzidos a formular reservas ou declarações adicionais. Em consequência, os Estados Unidos da América reservam-se o direito de fazer as reservas ou as declarações específicas adicionais no momento do depósito do seu instrumento de ratificação das alterações à Constituição e à Convenção (Genebra, 1992).
Os Estados Unidos da América reiteram e retomam implicitamente todas as reservas e declarações formuladas aquando de conferências administrativas mundiais ou de conferências mundiais das radiocomunicações antes da assinatura dos presentes Actos Finais.
Os Estados Unidos da América não podem consentir, por meio de assinatura ou por qualquer ratificação posterior das alterações à Constituição e à Convenção adoptadas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), em ficar obrigados pelos regulamentos administrativos adoptados antes da assinatura dos presente Actos Finais. Os Estados Unidos da América não podem ser considerados como tendo consentido em ficar obrigados pelas revisões dos regulamentos administrativos, parciais ou totais, adoptadas após a data da assinatura dos presentes Actos Finais se não notificarem expressamente à União Internacional das Telecomunicações o seu consentimento quanto a essa obrigação.
85
Pela França:
A Delegação francesa reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros não assumirem a sua parte nas despesas da União ou deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições das alterações à Constituição e à Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) adoptadas pela presente Conferência (Quioto, 1994), ou ainda se reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações ou causarem um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
86
Pela República de Chipre:
A Delegação da República de Chipre reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros da União não assumirem a sua parte nas despesas da União ou deixarem de se conformar, por qualquer forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), e ou dos seus anexos e protocolos, alterados pelo instrumento de Quioto de 1994, ou ainda se reservas formuladas por outros membros causarem um aumento da sua parte contributiva nas despesas da União ou comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações, ou se outras medidas que uma pessoa física ou moral adoptar ou tencionar adoptar prejudicarem a sua soberania directa ou indirectamente.
A Delegação da República de Chipre reserva, além disso, para o seu Governo o direito de fazer qualquer outra declaração ou reserva até ao momento em que o instrumento de alteração (Quioto, 1994) da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) for ratificado pela República de Chipre.
87
Pelo Reino dos Países Baixos:
I
A Delegação dos Países Baixos reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para salvaguardar os seus interesses se certos Membros não participarem nas despesas da União ou não se conformarem, por qualquer outra forma, com as disposições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) alteradas pelos instrumentos de Quioto (1994), ou dos seus anexos ou protocolos facultativos, ou ainda se reservas formuladas por outros países puderem causar um aumento da sua parte contributiva nas despesas da União ou, finalmente, se reservas formuladas por outros países comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
II
A Delegação dos Países Baixos declara formalmente, no que se refere ao artigo 54.º da Constituição da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), modificada pelo instrumento de Quioto (1994), que mantém as reservas efectuadas em nome do seu Governo aquando da assinatura dos regulamentos administrativos mencionados no artigo 4.º
88
Pela República Árabe do Egipto:
A Delegação da República Árabe do Egipto reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses se um membro actual ou futuro da União não observar as condições da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), ou dos anexos ou protocolos, alterados nos termos dos instrumentos de Quioto (1994), ou se reservas feitas por outros membros comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
89
Pela Irlanda:
Tendo em consideração as declarações e as reservas formuladas por certos membros, o Governo da Irlanda reitera as reservas que formulou aquando da assinatura dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários Adicional (Genebra, 1992) e reserva-se, além disso, o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para defender os seus interesses se um membro não se conformar com as obrigações que decorrem da Constituição e Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992), alteradas pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou dos seus anexos.
90
Pelo Estado de Israel:
1 - A declaração feita por certas Delegações no n.º 26 dos Actos Finais, estando em flagrante contradição com os princípios e o objecto da União Internacional das Telecomunicações, é, por conseguinte, juridicamente nula.
O Governo de Israel insiste em sublinhar que rejeita categoricamente as declarações que politizam e prejudicam o trabalho da UIT. A Delegação de Israel considera que não têm qualquer efeito sobre os direitos e deveres de um Estado membro da União Internacional das Telecomunicações.
Além disso, tendo em consideração que actualmente estão a decorrer entre Israel e vários Estados Árabes negociações no sentido de se encontrar uma solução para o conflito israelo-árabe, a Delegação de Israel considera que a declaração dos países árabes está em contradição com o objectivo procurado e é prejudicial à causa da paz no Médio Oriente. Além disso, aquela declaração está em contradição com o espírito da Resolução 32, adoptada, por unanimidade, em 13 de Outubro de 1994, pela Conferência de Plenipotenciários de Quioto.
A Delegação de Israel, no que respeita ao fundo da questão, adoptará uma atitude de reciprocidade total quanto aos membros cujas delegações formularam a dita declaração.
A Delegação de Israel nota igualmente que a Declaração 26, contrária aos procedimentos da UIT, não designa o Estado de Israel pelo seu nome completo. Nestas condições, introduz no trabalho profissional da Conferência elementos inadmissíveis de discórdia e de inimizade e deve ser rejeitada enquanto violação das regras e normas reconhecidas do comportamento internacional.
2 - Além disso, após tomar nota de diversas outras declarações que foram já depositadas, a Delegação de Israel reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para salvaguardar os seus interesses e proteger a exploração dos seus serviços de telecomunicações no caso do bom funcionamento dos seus serviços ser comprometido pelas decisões da presente Conferência ou pelas reservas formuladas por outras delegações.
91
Pelo Bangladesh:
Após ter examinado as declarações constantes do Documento n.º 299, a Delegação do Bangladesh reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para salvaguardar os seus interesses no caso de um membro ou membro não respeitar, por qualquer forma, as disposições dos instrumentos de alteração à Constituição e à Convenção da União Internacional das Telecomunicações, adoptados em Quioto (UIT-PP 94, Quioto), ou se reservas formuladas por um membro ou membro puderem comprometer o funcionamento técnico e ou a exploração comercial dos seus serviços de telecomunicações ou causar um aumento da sua parte contributiva para as despesas da União.
92
Pela República Federal da Alemanha, pela Austrália, pela Áustria, pela Bélgica, pelo Canadá, pela República de Chipre, pela Dinamarca, pela República da Estónia, pelos Estados Unidos da América, pela Finlândia, pela França, pela Grécia, pela República da Hungria, pela Irlanda, pelo Estado de Israel, pela Itália, pelo Japão, pela República da Letónia, pelo Principado do Listenstein, pelo Luxemburgo, por Malta, pelo Principado do Mónaco, pela Noruega, pela Nova Zelândia, pelo Reino dos Países Baixos, pela República da Polónia, por Portugal, pelo Reino Unido da Grã-Bretanha e da Irlanda do Norte, pela Suécia, pela Suíça e pela Turquia:
As Delegações dos países acima mencionados, referindo-se às declarações feitas pela Colômbia (n.º 37) e pela República do Quénia (n.º 72), consideram, na medida em que estas declarações e outros documentos análogos se referem à Declaração de Bogotá assinada em 3 de Dezembro de 1976 pelos países equatoriais e à reivindicação destes países de exercer direitos soberanos sobre parte da órbita dos satélites geoestacionários, bem como a qualquer declaração similar, que esta reivindicação não pode ser admitida pela presente Conferência.
Além disso, as Delegações dos países acima mencionados desejam confirmar ou renovar a declaração (n.º 73) feita por um certo número de delegações na Conferência de Plenipotenciários Adicional (Genebra, 1992), às declarações formuladas nas conferências que aí são mencionadas, como se estas declarações fossem aqui reproduzidas por extenso.
As Delegações acima mencionadas desejam ainda afirmar que a referência à «situação geográfica de alguns países» no artigo 44.º da Constituição não significa que seja admitida a reivindicação de quaisquer direitos preferenciais sobre a órbita dos satélites geoestacionários.
93
Pela República Federal da Alemanha, pela Finlândia, pela França, pela Islândia, pela Itália, pela República da Letónia, pelo Principado do Mónaco, pelo Reino dos Países Baixos, pela Roménia, pelo Reino Unido da Grã-Bretanha e da Irlanda do Norte e pela Turquia:
No que diz respeito às declarações de várias delegações que visam formular reservas ou declarações em relação aos Actos Finais da presente Conferência no momento do depósito dos seus instrumentos de ratificação ou antes desta data, as Delegações acima mencionadas reservam para o seu Governo o direito de não tomar em consideração as reservas e as declarações formuladas por outros membros da União após a assinatura dos Actos Finais desta Conferência.
94
Pela República Federal da Alemanha, pela Bélgica, pela República de Chipre, pela Dinamarca, pela República da Estónia, pela Finlândia, pela França, pela Grécia, pela Irlanda, pela Islândia, pela Itália, pela República da Letónia, pelo Principado do Listenstein, pelo Luxemburgo, pelo Principado do Mónaco, pela Noruega, pelo Reino dos Países Baixos, pela República da Polónia, pela Roménia, pelo Reino Unido da Grã-Bretanha e da Irlanda do Norte, pela Suécia, pela Confederação Suíça e pela Turquia:
As Delegações acima mencionadas, referindo-se à Declaração 80 feita pela República Argelina Democrática e Popular, o Commonwealth das Baamas, o Estado do Barein, os Barbados, a República dos Camarões, a República a Costa do Marfim, a Guiana, a República da Índia, a República Islâmica do Irão, o Reino Hachemita da Jordânia, a República do Quénia, o Estado do Koweit, o Líbano, o Reino de Marrocos, o Sultanato de Oman, a República Islâmica do Paquistão, a Papuásia-Nova Guiné, o Estado do Qatar, São Vicente e Granadinas, o Reino da Arábia Saudita, a República do Senegal, a República Árabe Síria, a Tailândia, os Emirados Árabes Unidos e a República do Zimbabwe, notam que esta declaração não foi formulada no momento da assinatura da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e que ela não tem incidência na aplicação do artigo 54.º da Constituição às delegações que fizeram a presente declaração.
95
Pela Austrália:
Após ter examinado as declarações e as reservas constantes do Documento n.º 299 da Conferência, a Delegação da Austrália declara que reserva para o seu Governo o direito de formular declarações ou reservas no momento do depósito dos seus instrumentos de ratificação para os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994).
96
Pela Jamahiriya Árabe Líbia Popular e Socialista:
A Delegação da Jamahiriya Árabe Líbia Popular e Socialista à Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994) reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para a salvaguarda dos seus interesses e dos seus serviços de telecomunicações no caso de um membro deixar de se conformar com as disposições dos Actos Finais da Conferência de Plenipotenciário (Quioto, 1994) e reserva igualmente para o seu Governo o direito de fazer qualquer reserva que possa julgar necessária antes da ratificação dos referidos Actos Finais no caso de uma disposição ser contrária à Constituição da Jamahiriya Árabe Líbia Popular e Socialista.
97
Pelos Estados Unidos da América:
Referindo-se à Declaração 80 formulada por numerosas delegações, os Estados Unidos da América exprimem o seu desacordo sobre diversos pontos da dita declaração e sublinham que a dita declaração, que tem carácter antecipativo, não foi formulada aquando da assinatura da Constituição e da Convenção da União Internacional das Telecomunicações (Genebra, 1992) e que não modifica em nada a aplicação aos Estados Unidos da América das disposições do artigo 54.º da Constituição (Genebra, 1992).
98
Pelos Estados Unidos da América:
Os Estados Unidos da América, tendo em conta a Declaração 40 da Delegação de Cuba, lembram que dispõem do direito de emitir para Cuba em frequências apropriadas sem interferências intencionais ou outras interferências prejudiciais e reservam os seus direitos com relação às interferências existentes e a qualquer interferência futura causada por Cuba às emissões dos Estados Unidos. Além disso, os Estados Unidos da América chamam a atenção para o facto de a sua presença em Guantánamo decorrer de um acordo internacional actualmente em vigor. Os Estados Unidos da América reservam-se o direito de continuar a responder às suas necessidades em matéria de radiocomunicações nesta província como o fizeram até ao presente.
99
Pelo Reino de Tonga:
No que respeita às declarações e reservas constantes do Documento n.º 299, de 13 de Outubro de 1994, a Delegação do Reino de Tonga reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de um membro deixar de se conformar com as disposições constantes dos instrumentos de alteração à Constituição e à Convenção (Genebra, 1992) adoptados pela Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), ou ainda se as reservas formuladas por outras administrações comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
100
Pela ex-República Jugoslava da Macedónia:
Após ter examinado as declarações e as reservas constantes do Documento n.º 299 da Conferência de Plenipotenciários (Quioto, 1994), a Delegação da República da Macedónia reserva para o seu Governo o direito de tomar quaisquer medidas que julgar necessárias para proteger os seus interesses no caso de certos membros, actuais ou futuros, não assumirem a sua parte nas despesas da União ou não observarem, por qualquer outra forma, as disposições do instrumento que altera a Constituição e a Convenção da UIT (Genebra, 1992), ou se reservas de outros países causarem um aumento da sua parte nas despesas da União ou comprometerem o bom funcionamento dos seus serviços de telecomunicações.
101
Pela República do Gana:
Após ter examinado as declarações constantes do Documento n.º 299 da Conferência, a Delegação do Gana, ao assinar os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994), reserva para o Governo da República do Gana o direito de tomar quaisquer medidas que considerar necessárias para proteger os seus interesses.
A Delegação do Gana reserva ainda para o seu Governo o direito de formular declarações e reservas no momento do depósito dos seus instrumentos de ratificação para os Actos Finais da Conferência de Plenipotenciários da União Internacional das Telecomunicações (Quioto, 1994).
(nota *) Nota do secretariado geral. - Os textos das declarações e reservas estão ordenados pela ordem cronológica do respectivo depósito.
[Seguem-se as mesmas assinaturas que para os instrumentos de alteração à Constituição e à Convenção da UIT (Genebra, 1992).]